lirik lagu fame – mokazz
intro :
j’fais du rap sur lequel tu n’peux même pas danser
l’mec est sensible t’fait des textes insensés
qu’est*ce t’en dis
fait pas l’mec pensif
j’sais qu’tu m’savoure comme un steak bien saucé
oh sh*t, ma gueule sur un poster
chez toi c’est pas impossible
le gros chiffre sera pas pour les imposteurs
mais les neurones fils
range ton gros chibre, sors les euros
j’veux qu’mon jacuzzi soit fait de rhum
ma musique adoucit les blem
faut qu’t’achètes le cd*rom
yo j’ai pas l’temps
tu vises le kilo, moi le mille tonnes
tu veux les tuyaux, mets le prix
faut qu’mes rimes cognent
je veux diriger cette putain de ville
m.o.kazz, le tiers de quinze type
égo*jazz en un style
j’lâche des phases si complexe
que dans l’milieux les gens m’appellent l’instit’
j’pars à cinq*mille kilomètre/heure
j’n’inspire que les maîtres
j’crache vingt litres de mon encre
et forme ainsi mes indices et mes lettres
y’a beaucoup d’indic’ et de traitres
moi j’ai de très nombreux amis j’en suis fier
le doute on s’y fera
tant qu’on garde les deux yeux rivés vers le ciel
la musique du groupe sera immortelle
avant d’être posthume
tu sais bien que tu as reconnu le groove
derrière ces costumes
j’enchaine et j’bosse dur
j’cause toujours avec la grâce du sorcier
et l’innocence du moldu
tu veux remettre mon titre en question, comment oses*tu?
la musique, c’est un milieux hostile
mon père aimerait que j’arrête d’aller au stud’
mais quand je suis dans la cabine j’ai beaucoup trop d’style, hé…
(transition * solos)
l’homme sert ses paires donc l’âme s’en sépare
paie ses verres mais jamais sans ébats
ses arrières pensées l’traquent, ses dernières le trahissent
derrière ce caïd, face au feeling c’est l’vrac
faire du shilling c’est l’cap, tant qu’le challenge occupe
et t’évite de tourner en rond comme sur un manège occulte, hé..
stratège obscure
y’a qu’mes vers qui font office de machine à led au stud’
la lumière m’a quitté
comme la chine a tej’ l’eau pure pour que l’or pleuve
des gens bossent durs, finissent corps bleus, bossus
j’me trouve au*dessus j’n’entend rien d’plus a part leurs pleurs
j’vois qu’le tort dure
encore un sac d’ordure en malaisie
dieu est soit mort, soit un moldu, soit amnésique
et moi dans tout c’bordel j’fais ma lessive
mon linge sale me colle aux mains comme de la magnésie
y’a pas de désir, privé de pénitence
mais la gloire séduit tant qu’une femme en bas*résilles
hey, qu’une femme en bas*résilles
la fame c’est le réseaux
l’infâme c’est la raison
et le contraire c’est la même
mokazz, mokazz, mokazz, hey
mokazz, mokazz, mokazz, hey
mokazz, mokazz, mokazz, hey
mokazz, mokazz, mokazz…
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