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lirik lagu partir – monk.e

[paroles de “partir”]

[intro]
i’m a travelling man, moving through places, sp*ce and time, sp*ce and time
i’m a travelling man, moving through places, sp*ce and time, sp*ce and time
i’ll be gone ’till november, i’ll be gone ’till november
i’ll be gone ’till november, i’ll be gone ’till november
travelling man, moving through places, sp*ce and time, sp*ce and time

[refrain]
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir, donc j’suis parti, sans attendre
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir donc j’suis parti, sans attendre

[couplet 1]
la palabra sagrada de pacha mama me llamaba
ptit’cul, curieux, qui veut sortir du canada
j’laisse le vent m’guider, qui sait qui sera là*bas ?
j’dois quitter, l’idée me rendant figé et maladroit
quand j’étais gosse, j’ai choisi le voyage à la place de m’remplir les poches
drôle d’époque, à 16 ans j’ai quitté l’école
au lieu de me cacher des profs, j’ai choisi de me cacher des cops
à 19 ans, j’étais au brésil avec os gemeos
on and on, la vie m’a dit : « vas*y ! tu te porteras bien »
elle me donne la main jusqu’aux portes du désert australien
j’éviterai le 9 à 5 si je me force à peindre
j’pourrai voir le monde donc j’ai rien d’autre à craindre
mes racines en terre ne font pas de moi un sédentaire
non ! je dois partir sinon j’vivrai l’enfer
hommage à mes ancêtres, nomade comme mes grands*pères
i’m a travelling man, moving through places
de façon exemplaire
[refrain]
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir, donc j’suis parti, sans attendre
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir donc j’suis parti, sans attendre

[couplet 2]
à la place de m’pavaner le ass, me fui a pintar, calaveras en zacatecas
vague à l’âme dans une caravane, vers la havane
j’ai traversé la jungle, le désert et la savane
revenu à paname, j’ai crié : « personne ne m’enlèvera la flamme »
au sommet des appalaches y écrire mes paragraphes
je sais que ma présence à cuba y marqua le graff
pour moi métro, boulot, dodo = sarcophage
mes vidéos ont à peine 12 000 views
mais j’ai pris une trentaine d’avions depuis 2012
sans chercher, c’est les lieux qui me trouvent
sur le grind, j’économise autant que je peux puis je bouge
peu importe où dude ce monde est large
comme rois mages, j’voyage et j’suis mon étoile
ouvrant mes voiles, i’ll be gone till november, bercé par le son des vagues
[refrain]
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir, donc j’suis parti, sans attendre
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir donc j’suis parti, sans attendre

[couplet 3]
mentales sont nos prisons, on m’a dit : « vas*y donc ! regarder défiler l’horizon »
nourrissons nos visions par l’ouverture
pour être pur, partout où je me déplace mes graffs recouvrent les murs
des favelas près d’ipanema au machu pichu
j’arrête pas d’apprendre c’que j’ne savais pas
à l’époque, j’rêvais de ça méditant dans un arrêt de bus
teotihuacan est plus qu’un palais de roches, si tu l’voyais de proche
j’caresse ce que ma planète offre et j’vais jamais stop
le nomade peut jammer sans jamais être jammer la
j’regarde le large sur la plage les vague effacent mes pas
avant la récolte, j’ai fait le kob et pilled it up
partir car vivre la routine ne m’allait pas
j’appelle ça : « avoir dans ma malette un chalet de bois »
ma maison dans le sac à dos comme un escargot
avions, camions, trains, bateaux, sans frontières car je n’ai point de drapeau
[refrain]
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir, donc j’suis parti, sans attendre
j’devais partir donc j’suis parti, sans attendre
j’entends la tendre vie qui m’dit le temps avance
laisse le vent t’apprendre, la vie te tend ta chance
de partir donc j’suis parti, sans attendre

- monk e

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