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lirik lagu le mal – moro h

trouble sur le dock j’crois qu’j’ai assez d’tricks y’a quoi t’as juste capté qu’j’vais pas m’gêner
tous ces nouveaux rappeurs j’les vois enchaînés
et tous ces nouveaux chanteurs d’r&b pas assez tristes
mais malgré moi
j’suis planqué tard
comme quand un keuf avec un plan tout fait t’quebar
j’ai vu mon cousin s’faire tabasser, s’faire quebra
j’me la joue escobar quand j’cuisine avec ces bars
j’marche dans la nuit avec le sang en excès d’barres
non tu sais qu’on n’essaye pas mais qu’on le fait très tard
jusqu’à c’qu’un sacré putain d’fossé nous sépare, non ne vous vexez pas
je suis le next senpaï
elle s’assit
s’mit à m’ignorer sans signe
j’sais pas c’que j’étais prêt à faire pour une fille si sensible
c’est la 667ème prod que j’k!ll
et ça m’fout le dems’
j’pratique que cette musique noire j’fais pas d’dance
j’veux bien d’la rollie
mes stoners ont l’rolling
j’veux partir en roue libre et
rouler en benz

j’ai écrit ma pensée sous forme de tatou
dur de croire en son dream comme un enfant d’tatooine
(yesir)
j’suis le batman de la ville comme nico batum
(lesgo)
comme nico batum ou nico robin
j’ai les mains partout et je déroule la bobine
j’veux transmettre ma musique pas finir sur vos pin’s
j’marie rime même sous pluie comme marie poppins
tout de suite j’ouvre le rideau à 3
j’me retrouve à liberty city comme dans gta 4
(lesgo)
on m’a passé la gonfle et j’étais d’attaque
j’veux faire ous bien assez pour pouvoir gérer ma taxe
prêt ? feu, go partez
j’me confie que dans mes textes comme si j’étais dans le salon d'”en aparté”
(oui bonjour nathalie)
politiciens à la droite de la droite
c’est des anciens skinheads, des anciens kkk
c’est aussi la vie quand décès il y a
parfois c’est de la vieillesse parfois c’est de la cia
(headshot)
j’navigue dans la ville, vite
car le devil vit
et j’évite qu’il s’agrippe
donc je dévie l’tir
j’prends les devants et j’me barre
avant de finir cuit
là j’suis dedans et je rap
au fin fond de la nuit
(yesir)
encore j’essaye et je vois que le truc a raté
avant de prendre le biberon j’aurai dû apprendre le karaté
on est sur l’terrain à 3 te demande pas qui a marqué
j’fais un pas devant l’autre pendant le ka mate
dans mes poches y’avait pas de radis
je le fais que pour moi même donc
j’peux pas me rater
je parle au ciel comme si les anges m’entendaient
j’en ai vu trop partir
c’est ac
j’les reverrai pas
dans la prochaine séance
les gens m’ont fait croire de belles paroles
tu deviens paro dis
j’fumais trop c’était le problème à son paroxysme
elle me disait des mots doux je voyais ça en parodie
t’appelles ça le paradis toi
paradis noir
la réussite me réussit pas
j’ai vu se briser le ciel en mille morceaux
je reste qu’un connard mort saoul
je bois un peu plus pour que mon heure sonne
faut que j’commence par la fin
j’ai les yeux vides
j’ai le cœur plein
j’vois la ville grise
ma pensée est restreinte
tu comprends que t’es plein de ce*vi
mais ça reste un
j’ai les yeux vides
j’ai le cœur plein
j’vois la ville grise
f*ck je sens son parfum
des heures durant
je me rappelle du banc
et des heures d’errance
j’ai perdu mes pétales à en devenir des ronces
j’amène ma plume et mon style dans un monde fade
avant j’écrivais en cours
maintenant j’écris au taf
j’regarde le ciel j’ai la tête vide
j’ai trop de mots et pas assez de rimes
j’ai attendu si longtemps pour si peu
j’aime le soleil mais bon pourvu qu’il pleuve
j’connais qu’le mal comme perséphone
la tristesse s’agrandît elle perd ses formes
j’connecte le mic’ j’vais percer fort
j’écoute le soleil qui m’berce des fois

j’connais qu’le mal comme perséphone
la tristesse s’agrandît elle perd ses formes
j’connecte le mic’ j’vais percer fort
j’écoute le soleil qui m’berce des fois

- moro h

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