lirik lagu les lumières – naakso
les idées sont lourdes, les dessine en noir sur noir
je n’ai plus d’espoir sournois
un instinct de loup, je ne vois que c’que j’crois
j’met une croix sur la tête de la proie
le regard éteint dirigé vers le sol
faut baisser la peine autour de moi j’essaye
pour penser mes plaies je resterais tout seul
et tout peut changer en un battement de cils
on connaît bien la, connait bien la ice dans la feuille en attendant le jour de paye
faut vider la ‘teille sinon j’reste éveillé la nuit
jsuis en (laye)? le matin est cerné
mais pour mes frères, un avenir en or
j’y pense dans l’appart, la baraque m’endort
et faut pas s’en faire, j’finirais dans les cordes
pour faire la monnaie j’connais bien la méthode
(et faut pas s’en faire, j’finirais dans les cordes
pour faire la monnaie j’connais bien la méthode)
[refrain]
les lumières de la ville éblouissent la fenêtre
j’me revois dans le vide où le seum a pu naître
et j’retire deux*trois taffs pour éliminer les tracas
j’en ai vu d’autres à terre, dis*moi qui m’a tendu la main
les lumières de la ville éblouissent la fenêtre
j’me revois dans le vide où le seum a pu naître
et j’retire deux*trois taffs pour éliminer les tracas
j’en ai vu d’autres à terre, dis*moi qui m’a tendu la main
paré mon poto, la vie c’est des pertes et des choix
parfois des plans alléchants qui te laissent reposer sur la chance
l’échec nous importune mais j’dois finir fortuné
la fume apporte une aide
maman, j’peux pas parler, j’passe sous le tunnel
des amis partis quand j’en avais besoin
pour me consoler j’achetais pas qu’de la pe*sa
lumière de la ville sur la vitre du merco
quand j’ai dis j’me lance mais j’ai rien fait en deux ans
le temps passe emporte les potes c’est abusé
au stud’ le mercredi on criait « ça tue ça »
et cul*sec à celui qui termine le couplet
quand j’écoute ces maquettes putain ça fait bizarre
chut allez hop hop hop grille 5*6 feux
comme un co*co*cops dans le block*block
nan j’mets la prod dans l’bloc
on les casse en 4 comme des chaînes en toc
on déboule, on déballe, on remballe, on décale
dans la feuille j’ai des produits bien plus que létal
faudrait pas recourir à l’option du métal
nan, vaudrait mieux que j’me calme
[refrain]
les lumières de la ville éblouissent la fenêtre
j’me revois dans le vide où le seum a pu naître
et j’retire deux*trois taffs pour éliminer les tracas
j’en ai vu d’autres à terre, dis*moi qui m’a tendu la main
les lumières de la ville éblouissent la fenêtre
j’me revois dans le vide où le seum a pu naître
et j’retire deux*trois taffs pour éliminer les tracas
j’en ai vu d’autres à terre, dis*moi qui m’a tendu la main
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