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lirik lagu 93 degrés | a colors show – nahir

93 degrés | a colors show lyrics
[paroles de “93 degrés | a colors show”]

[intro]
yo ! is that traplysse ?
araï
hi*hi*hi*hi*hi, c’est moi
eh, eh, eh

[couplet 1]
avant d’me décider j’dois toujours réciter, prier
le très*haut m’a empêché d’trébucher sur des erreurs que si j’avais commises, j’serai déjà dans les flammes avec satan comme invité
commet des pêchés parfois irréparables, cherche le bénéfice dans une puce lebara
j’pense à m’ranger très souvent quand j’suis carave
on voulait de l’eau ils ont voulu prendre la carafe, la vie faut la marave
d’façon la vraie c’est pas ici, même avec un justificatif de domicile (ouais)
au jugement dernier c’est nos actes, c’est pas des quittances de loyer qu’on signe
voilà l’importance des consignes
j’y pense quand ma clope se consume
la dixième que je consomme
dans l’paquet il en reste que dix
qui m’niqueront la santé à vie
bref, j’veux toujours faire les choses rapidement
les sommes sont sales et les manos aussi, pour ça que j’peux rien bâtir proprement
on pleure des morts avec trop d’remords
on pleure des morts avec trop d’remords
contrairement aux hypocrites qui regardent en premier l’héritage sur le testament
la france a fait qu’on pense au biff d’abord
si j’étais amené à consulter le psy
ma thérapie serait plus haram que l’autopsie
j’peux pas m’arrêter, j’y rêve depuis petit
emmener toute la smala sur un pilotis
j’crains le covid pour mes parents, ils craignent le covid parce qu’ils peuvent plus poser des bouteilles dans les boîtes
nhar sheitan en bécane et le frein en panne qui tient sur un oi*d
j’ai grandi entre bonheur et cauchemars
adolescence bercée par gyrophares
ma vie d’adulte est comme une fleur qui fane
il reste que la branche, pas un seul pétale
le flingue ou la rose, dans tous les cas, l’donneur de go peut se retrouver à fleury
c’est pas moi c’est paris, 93 c’est pas la floride
on a les contacts de frappe, de crack, les filets s’craquent
les fes*keu plaquent, coup de matraque, harbat
dans l’bât, avant qu’ça parte en couilles et que le voisin porte plainte
contrainte de la nourrice qui bosse
suffit d’un blaze, sur elle, on met le contrat
contrôle abusif, écarte les bras
pas un dab, c’est la gav qui tend les bras
on peut pas être sale et finir dans d’beaux draps
si on tient les coups, ça, ça dépendra
du temps, de l’argent, des circonstances atténuantes et surtout de l’entourage
à tout âge, on casse tout ça et tout ça à cause de la violence à tous les étages
petit c’est l’vol à l’étalage, b*n*l comme un p’tit d’m*rs*ille qui a une kalash
prends pas partie quand les autres font, sinon ça veut dire que t’es un mouton
plutôt mourir qu’être hypocrite sur terre
j’ai mon knife et ma miff’ qui me sauveront
connu la pauvreté comme à sevran, comme aux beaudottes, j’investis dans le four
connaît les soirs d’hiver sur un banc, avec ma sœur dans les bras qui tient pas debout
on est prêt à tout par amour pour les nôtres
on prend la vie des vôtres, si elles brisent les nôtres
j’sais plus faire la différence entre les traîtres, les faibles, les méchants et puis les apôtres
elle veut que je la marie, téma l’prix d’la dot
on dirait la clause libératoire à messi
alors qu’elle a tourné à foison, la shnek sent le poisson, j’lui ferai pas ce plaisir
dz zaïko, j’suis kitoko et j’suis un rajel
ils m’ont dit d’mettre les pieds dans le plat mais il y’avait du shour dans le tajine
quand on est sincère, ça gène
la vérité peut sortir tout aussi bien en privé, qu’en public
mais chez nous on est pas des balances donc on sait s’taire
je veux le salaire d’un joueur de manchester
laisse faire ce que j’vais leur faire, j’sais que tu l’sais
c’est le retour de n.a.h laister
on rédige la synthèse, pour ça qu’il s’taisent (shht)
trop d’choses à dire et je me contiens
j’compte bien leur faire du mal à temps plein
pour l’instant je le fais en tremplin
veulent me noyer maintenant qu’je suis dans le grand bain
[pont]
hi*hi*hi
eh
ça pouvait pas finir comme ça
ok, eh

[couplet 2]
j’vais leur donner une bonne raison de ves*qui l’feat pas, d’fuite, sale fiotte
j’t’informe, j’m’affirme, j’t’assure, j’rectifie pas l’tir, j’tire, j’m’éclipse
ça clique, leurs avis, j’m’en bat les, remballez vos flows qu’vous m’avez pris, par mépris
j’ai brisé des côtes, jusqu’à c’qu’ils s’inclinent, c’est cuit, j’oblige les autres à pousser la chansonnette comme mary j.blige
ils s’plaignent, j’attends mon heure depuis treize piges
que du sale, que la nuit comme bruce wayne
tous méritent des baffes dans la gueule, who’s bad ?
billie jean, jackson, j’actionne, klaxonne, j’tamponne
le pied gauche à robben
la re*pu j’la revends même à roubaix
ça roupille, quand on brille, t’as compris
qu’on arrive énervé comme broly
dans l’binks, tudo bem, on agresse la caisse claire, laisse faire, j’espère qu’ils comprendront qu’j’suis venu comme casper
et j’repars en rolls phantom, la sacem a dis qu’j’étais prometteur
j’prolifère des ennemis qui sucent trop comme pas mi*per
ça m’énerve, j’ai les nerfs à ras bord
le rapport, je rédige : “ils sont morts, on les tord”
d’accord, c’est pas un colors, c’est une mise à mort, temps mort
[outro]
fin d’couplet
araï, araï, araï, trop fou
pscht

- nahir

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