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lirik lagu michel cardon (feat werenoi) – niaks

[intro]

l’bon vieux
c’est valré*foutoir
c’est nous les braves, c’est eux les trav’
bon vieux !
pah, pah

[couplet 1 : niaks]
j’ai grandi au hebs : s’il te plait parle pas de vécu
c’est pas avec nous qu’tu fera la mala, le mécra
j’suis prudent car trop de fils de putes veulent me vé*cre
ce n’est pas une faiblesse : c’est la vida loca
moi j’pense qu’à faire du gain, donc je pense qu’a faire du gras
te renseigner sur moi ? facile : demande à ton grand
tellement fait des dégâts que j’vais finir par né*ca par un envieux de chez toi ou un te*trai de mon camp
on va prendre des sous dans le rap, c’est mieux que de s’faire paniqué
l’adrénaline nous a piquée, friqué mais bien niqué
tout le monde a faim, tout le monde est fou, tout le monde est broliké
une retraite vers alicante : ‘pour ça qu’je vend de la coca, pas pour l’été
comprends je veux tout le gâteau, je sors de la gadoue
va essuyer ton cul, tu m’parles d’essuyer des cartouches
j’rap pour les oubliés, les milliers de michel cardon
j’compte plus les fois où les hesses m’ont dit “prépare tes cartons”
maintenant faut que je baise le game
marche arrière, makayn
libérables, rebelotte, ça se relance dans le me*cri, gang
impliqués dans des coups, ducoup bah fais hendek c’est fitna
sous commission rogatoire ça tire les ficelles du filtra
logique qu’on mène la vida*
loca, très loin de ta vie de lâche
a peine tu découvrais le bon*char quand en prison je prenais de l’âge
il me parle d’équipe, d’association je l’écoute même pas tre*leau
une embrouille qui par très loin je sais qui bougera comme fratelo
[refrain : werenoi]
woo
je regarde vers le ciel quand y’a du sale à faire (oh woo)
j’vois que les tombes quand je regarde à la fenêtre
beaucoup trop de liquide, j’crois qu’y’a du sang à verser
gros, prend ton parapluie quand y’a de sales averses (brrr)

je regarde vers le ciel quand y’a du sale à faire (oh woo)
j’vois que les tombes quand je regarde à la fenêtre
beaucoup trop de liquide, j’crois qu’y’a du sang à verser
gros, prend ton parapluie quand y’a de sales averses

[couplet 2 : werenoi]

j’souris jamais même quand c’est la fête
jai des potos mort d’une balle dans la tête
le monde est petit : je peux trouver ton adresse
si tu dois mourir, tu vas mourir même si tu te cache en grèce
j’fais pas le sist*gro quand il vient me prendre un 10
je leurs dit : “j’ai pas de lové” même quand j’ai du biff
on mange des langoustines, quand pour toi c’est la crise
j’pose le t, je récupère le gamos devant la grise
tu veux que j’te dise la vérité ? la vie ça va trop vite
t’as eu ce que tu méritais
reste branché comme prise péritel
j’suis de ces mecs à éviter
j’traine vers le scandalo, mais tu peux croiser ibliss dans le couloire du sofitel (eh)
je fais plus la diff : même lundi c’est le week*end (eh)
t’es devant netflix quand je suis dans un serie 7 (eh ehh)
7.62 caché sous la chemisette (ouais)
traverse ton pare*balles c’est pas des shurikens (eh ehh)
[couplet 3 : niaks]
je suis dans les bresom*bails, les mossébas, les housses en balles
un monde vicieux donc si on le connait pas nous on sent pas
qu’tes le vécu de zenpa, 9assaman, on s’en bat (9assaman billah !)
touche un de la miff et ton âme, on s’empare (grrra)
tu vois pas l’horizon ?
suis mois mais soit pret à dégainer (viens ! suis moi)
et viendra le jour où l’caviar on va dégueuler, à picoler, à déconner
tu connais d’nos épreuves rigoler à s’en faire un torticolis
si t’as fais les 400 coups, on a fait les 400 plans
dis*leurs tony : “on a pas le même vécu qu’eux ni leurs ascendants”
t*max 530, kichta ou la sentence
nous on fait pas semblant c’est pour ça qu’on peut pas s’entendre
j’ai des frères qui ont prit perpète d’autre ont mit [?]
et j’ai fais qu’éprouver ma mère depuis l’placenta
pour ça, faut qu’j’brasse en balle, mettre les rent*pa en paix (vite vite)
par dieu : moi c’est pas des llion*mi qui fermeront mes plaies (non non)
binks

[pont : niaks]
c’est l’zbeul dans ma te*té, c’est l’zbeul dans ma tess
trop de faits divers : c’est la course aux richesses
comment veux tu qu’ceux sur le rainté s’arrêtent ?
comme m au 36 , 50kil’, j’disparais
j’ai vu des stagiaires hesses venir grimpé
méfie toi içi la jeunesse pue l’ancienneté
rainté, crav*bi, kichta (kichta !)
tête pleine, promenade, mossébas (mossébas !)
[pont : wernoi]
moi je voulais le monopole, et ça depuis l’époque tu jouais aux billles, aux pog
tes rappeurs parlent de drogue, ce qu’ils racontent c’est pas leur vie
rien qu’ils parlent de glock mais si je le sors ils s’feront dans le froc
woo

[refrain]
je regarde vers le ciel quand y’a du sale à faire (oh woo)
j’vois que les tombes quand je regarde à la fenêtre (à la f’netre)
beaucoup trop de liquide, j’crois qu’y’a du sang à verser ( à verser !)
gros, prend ton parapluie quand y’a de sales averses (‘verses)

je regarde vers le ciel quand y’a du sale à faire (du sale à faire !)
j’vois que les tombes quand je regarde à la fenêtre ( à la f’netre frère)
beaucoup trop de liquide, j’crois qu’y’a du sang à verser (à verser !)
gros, prend ton parapluie quand y’a de sales averses

- niaks

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