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lirik lagu orelsan “medley base” – orelsan

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[couplet 1]
c’est l’retour de la légende de jimmy
même si j’peux craquer à tout moment, comme les jambes de djibril [cric]
2008 j’lance le missile
si t’écoutais pas d’rap en 98, change de vinyl
parce que j’kicke la prod à l’ancienne, nique la mode
j’viens kicker, comme quand j’kickais pour démarrer ma vogue
cherche pas d’messages dans mes phases, dans mes métaph0r-s
j’fais ça pour le plaisir, parce que j’trouve que j’déchire
oh ! j’représente le “7”
j’écris des textes tirés par les cheveux comme ta meuf en levrette
j’crache le feu sur ta bande de traîtres
c’est le remake de sodome et gomorrhe, un holocauste sonore
j’suis trop gore pour le grand public
t’façon j’m’en branle des victoires de la musique : j’vise les hot d’or
tous les jours, j’me couche aux aurores
et j’pars au taf avec une gueule d’enterrement comme si j’étais croque-mort
j’suis les beatles pour les jeunes ados
j’pourrais p-sser sur sky, même si mon single s’appelait “fun radio”
j’crache dans tes règles, ça fait ketchup-mayo
j’te baise sur un tas d’bois, t’attrapes une syphilis de derrière les f-gots
j’distribuais des cd dans l’hexagone
pendant qu’tu distribuais tes cv dans les mac-do
alors j’comprends qu’tu voudrais faire un feat
mais moi j’voudrais un big mac et une grande frite
et ça fait “1 pour mon estomac”, “2 pour ma bite”
b-sse-normandie, 14000, tu sais où j’habite
jimmy-jimmy-jimmy vient t’ôter la vie
j’t’envoie en chimi-chimio-chimiothérapie
oui c’est gratuit, j’suis bête et méchant
si j’dois mettre des gants, j’t’arrache la jugulaire avec les dents
et quand on fait la fête chez tes parents, ça part en tapage nocturne
on fait tourner l’cul d’la vieille alors que personne fume
laisse-moi prendre ma respiration
j’devrais être sponso msn : tout l’monde prend mes citations
trouve-moi en pleine méditation dans un débit d’boissons
ma gueule de bois ferait p-sser pinocchio pour un vrai p’t-t garçon
j’écris des tubes à l’encre de banane (what else?)
j’te refile des trucs via l’antre de ta femme
t’arrives à rapper super vite : pas mal
mais si t’as du flow et pas d’paroles, tu seras jamais plus fort que scatman

[couplet 2]
cherche pas, la mienne est plus grosse que la tienne !
j’parle de la chienne que j’ai fait aboyer la veille
j’me rappelle plus d’sa tête, j’sais juste qu’elle était dégueul-sse
j’ai mal au dos, j’ai dormi par terre, parce qu’elle prenait deux places
j’suis veilleur de nuit, slash, baiseur de truie
j’sais pas qui c’est ton rappeur préféré mais sache que j’suis meilleur que lui
avec un smic, les putes sont hors de prix
alors j’me saoule à l’alcool de riz et j’saute ta poule en fosburry
la force de wolverine, le flow d’aquaman
j’veux mourir à 33 ans, comme jésus, bruce lee et balavoine
j’déteste aller à paname rapper, j’ai du mal à gérer le stress

[refrain]
quand j’étais pet-t j’me faisais courser du collège jusqu’à chez moi
courez courez, vous m’attraperez pas !
y’avait toujours un p’t-t bâtard qui voulait m’c-sser le bras
courez courez, vous m’attraperez pas !
depuis j’considère qu’la terre entière a une dette envers moi
courez courez, vous m’attraperez pas !
j’ai trouvé les 7 boules de cristal : priez pour que j’m’en serve pas
courez courez, vous m’attraperez pas !

[couplet 3]
des fois, j’me sens vraiment bien ; des fois, c’est du bluff
des fois, j’fais des blocages, j’parle pas d’faire du smurf
rien d’neuf, à part un coup d’vieux dans les rues d’ma ville
j’dors plus la nuit, j’dialogue avec une machine
j’sors de chez moi sous les insultes de ma voisine
elle a pas d’voiture mais, sa vie, c’est surveiller sa place de parking
quand j’pense qu’elle a traversé l’temps pour ça, j’ressens tellement d’pitié
vieillir me fait vraiment flipper
quand j’grandissais, j’remplissais des trous avec du vide
j’peux pas devenir le plus intelligent, j’serai l’plus stupide
j’portais l’adolescence comme un fardeau
p-sse-moi une craie blanche, j’veux plus noircir le tableau
p-sse-moi des explosifs, une m-sse ou un marteau
j’en ai marre d’escalader la pyramide de maslow
j’transpire à grosses gouttes chaque fois qu’le jour se lève
j’p-sse mes nuits à courir après mes rêves

[couplet 4]
j’tourne comme un hamster dans une roue, comme dirait ma mère : j’suis sens dessus dessous
les années à rien faire m’ont rendu fou, j’fais comme le père de bernie : j’encule tout
si j’suis pas dans mon lit, j’suis dans un bar, si j’suis pas en train d’dessaouler, j’suis en train d’boire
j’suis venu les aveugler, j’me suis mis en pleins phares, j’suis l’un des meilleurs rappeurs de l’histoire, point-barre
faut qu’j’me tire de là, j’suis entre la crise de nerfs et la crise de foie
entre deux prises de poids, entre deux prises de voix, entre deux filles de joie, en train d’me dire : “faudrait qu’j’vise mieux qu’ça”
j’ai besoin de repos, j’écris des trucs vrais, mais j’les chante un peu faux
j’ai juré d’jamais changer, même pour beaucoup d’zéros, j’ai juré d’jamais changer, mais j’ai beaucoup d’défauts
plus de défauts qu’une fausse jordan, d’ailleurs, tout l’monde porte des jordan
j’veux plus jamais porter d’jordan, j’veux juste devenir michael jordan
j’suis en boucle, j’suis dans l’rouge, j’suis dans l’doute, j’suis dans l’gouffre
j’suis perdu en route, j’suis là où l’vent souffle, j’suis en stop, mais j’suis trop feignant pour lever l’pouce
j’suis dans toutes les radios pirates, maintenant ça chante, depuis deux mois, ça parle de copyright
même les fans parlent en ventes, en chiffres, en audimat, est-ce que c’est ton nouveau single ou ton coming-out ?
j’suis dans rocky 4, quand il p-sse les vitesses, dans sa bagnole et qu’il voit sa vie défiler, voilà comment j’me sens maintenant
j’fais cette merde depuis qu’j’ai quinze ans
j’suis majeur depuis qu’on a créé les c-sseurs, quand notre signature n’avait pas d’valeur
quand on jouait encore en amateurs, quand tu trouvais bizarre tous les sons qu’il y avait dans mon baladeur
quand j’osais pas dire au lycée qu’j’voulais être rappeur, parce que, la seule chose qu’ils écoutaient, c’était ben harper
quand on s’levait à pas d’heure, quand j’faisais la même chose tous les jours comme si j’avais alzheimer

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