lirik lagu sinaloa – pikass
[couplet 1]
bloqué dans ma ptite prison mentale
j’suis le tolard et l’maton
mes pensées vont trop deep’
ça m’met en r*t*rd
et j’suis un connard parce qu’elle m’attend
j’bouge pas d’ici tant qu’j’ai l’veau*cer en miette*miette
(miette)
ouais j’ai l’veau*cer en miette
faut qu’j’t’aille loin d’tout
sans qu’mes problèmes empiètent
faut la mer du j*pon
faut d’un océan d’¥ens
ce ca$h
va finir un jour pas nous rendre malade
faut du benef c’est pas d’ma faute
mais quand j’étais au bonchar toi t’étais pas là
mon gava
t’étonne pas si j’partage pas trop
j’ai la haine
d’agir comme un putain d’égoïste
faudrait changer avant qu’y’ai trop d’biff
dans ma tête
y’a mes valeurs et mon égo qui s’tappent
et l’ange de gauche qui me démonise encore
[pré*refrain]
je cala pas ceux qui t’disent
que sans oseille tu peux être heureux
une vie pleine de cicatrices
que j’soignerais avec des euros
ça m’empêchera pas d’être triste
ça m’empêchera pas d’être peureux
l’argent ça m’donne l’appétit
le déficit c’est écoeurant
[refrain]
j’ai recompté mon fric
et j’en ai mal aux oid’
j’pars me montrer l’mexique
j’vais voir sinaloa
l’enfer sur terre devient paradisiaque
cette monnaie
elle rendrait tous mes rêves réalisables
demain c’est le jour de paye
demain c’est le jour de paye
[couplet 2]
demain j’prends l’cash
j’me tire de c’coin pluvieux
vivre plus intensément
j’veux pas vivre plus vieux
abonné au plaisir j’sais même pas depuis quand j’ai souscrit
à la fin c’est moi qui gagne j’ai d’ja lu tout l’script
j’parle vrai
j’ai aucune raison de balnaver
hier était comme demain
jour d’après ressemble à la veille
j’cultive mon bonheur dans un monde où y’a même plus d’abeilles
où pour construire un immeuble faut raser une abbaye
j’viens d’un pays
où c’est mieux d’le faire que d’le penser
tu peux pas sortir de chez toi sans rien dépenser
trop de keuf dans la ville et trop peu d’érable
ici le poid d’la vie, il est pondérable
[pré*refrain]
je cala pas ceux qui t’disent
que sans oseille tu peux être heureux
une vie pleine de cicatrices
que j’soignerais avec des euros
ça m’empêchera pas d’être triste
ça m’empêchera pas d’être peureux
l’argent ça m’donne l’appétit
le déficit c’est écoeurant
[refrain]
j’ai recompté mon fric
et j’en ai mal aux oid’
j’pars me montrer l’mexique
j’vais voir sinaloa
l’enfer sur terre devient paradisiaque
cette monnaie
elle rendrait tous mes rêves réalisables
demain c’est le jour de paye
demain c’est le jour de paye
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