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lirik lagu un jour sans – r.e.d.k.

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[paroles de “un jour sans”]

[couplet unique]
la semaine fut longue, rythmée par multiples péripéties
j’ai tourné, tourné, fait le tour du monde, j’attendais ce dimanche comme le messie
en parlant de messi, j’crois que le barça joue, allons donc voir l’enfant prodige
j’ferai un zapping sur la première ligue et j’me remettrai l’replay de [?]
vu qu’aujourd’hui madame est de sortie avec ses potes
j’ai prévenu tout l’monde de ne pas me joindre, je n’décrocherai pas mon téléphone
(jamais, jamais, jamais) j’quitterai pas le salon, j’irai pas au charbon
(ça, non) j’suis déconnecté, la tête dans les nuages et suis en mode avion
un rêve que je vois se briser, d’ici j’aperçois les fêlures
quand j’entends le bruit de la porte qui s’ouvre et celui d’la clé dans la serrure
à l’aide du frottement des semelles sur le paillasson, j’compte les personnes sur le pallier
mon *n*lyse, si j’me fie au son, elle est accompagnée
tsunami dans mon crâne, mais je chevauche mon cheval de troie appelé “happy face”
pendant que madame débarque et ricane, bisou sur le crâne comme si j’étais barthez
elles investissent les lieux comme des commères, sur un fond d’colère
vés*ner’, on sait plus quoi faire, moi et mon pote homer
j’crois que, sur l’programme, il y a erreur, parce que j’comprends pas le topo, là
mais j’comprends vite qu’y’a peine de cœur quand j’la vois défoncer ma belle boîte de chocolats
son gars n’lui a pas dit : “je t’aime” depuis deux s’maines : pour elle, c’est l’scénario catastrophe
elle m’demande c’que j’en pense, j’lui réponds que, “je t’aime”, c’est juste sept lettres et une apostrophe
c’était pas la réponse attendue, pas celle qu’elle voulait entendre
du coup, tu vois, l’atmosphère est tendue, j’crois qu’il va falloir la détendre
le malheur des uns fait le bonheur des autres, pourtant j’voulais pas du tout blesser
mais, pour moi, c’est l’occasion rêvée de placer le : “hmm*hmm, j’crois que j’vais vous laisser”
madame a envie de me baffer, j’ai gaffé, je le vois, son regard est menaçant
ni une ni deux, j’prends mes clics et mes clacs, les clés de ma caisse et je saute dedans
j’appelle la daronne, j’ai peut*être encore là*bas un abonnement c*n*l+
quand elle décroche, j’entends des daronnes derrière elle, j’lui dis : “maman, je t’aime, bisous, bye, à plus”
(merde, merde, merde) bon, qu’est*ce qu’il me reste ? (ah, putain)
rentrer dans un bar et puis aller voir les minutes qui restent ?
aux yeux de la police, j’suis mauvais garçon, car j’ai sorti le gamos pour l’occasion
la tête de l’agent fait des rotations, retourne ta tête, détends*toi, c’est qu’une location
arrivé au bar, en souhaitant mettre un terme à cette épreuve
excellent départ : accueillant, chaleureux et le sourire d’la serveuse
elle m’demande c’que j’veux boire, sans même savoir, j’lui réponds : “un coca cherry”
elle revient avec un coca normal et son numéro : merde, qu’est*ce qu’elle a compris ?
le plan va capoter, j’me retrouve avec des regards subliminaux à gérer
tout est saboté ; sur la table d’à côté, je crois qu’des minots m’ont r’péré
ils m’demandent si, dans ma tête, j’écris, ça part en photos et en selfies
la serveuse se demande : “wesh, mais c’est qui ?”, là, ça d’vient gênant, faut qu’j’me ves*qui’
j’crois qu’il ne reste qu’une chambre d’hôtel pour trouver un peu de répit
alors j’ai décidé de prendre mon tél’, simuler un appel, et puis j’ai fui
j’arrive à l’hôtel, j’crois dans le hall une pote de madame, j’me dis : “oula”
elle doit se poser la même question que moi : “qu’est*ce qu’elle fout là ?”
bref, c’est pas mon problème, j’récupère la carte de ma chambre et j’enchaîne
saisis la télécommande et dégaine, tire sur la télé, zappant sur les chaînes
j’te l’donne en mille : il ne reste pour moi que des matchs qui m’intéressent pas
du coup, c’est baignoire, bulles, épais peignoir, pénard : r.e.dsk
j’ai loupé, flingué toute l’aprem’ mais, en fait, j’m’en fous
le cadre et le calme m’éclatent, tu captes ? en vrai, c’est tellement doux
soudain, à la porte, j’entends taper, pourtant je n’ai rien commandé
j’entends : “je sais que t’es là”, j’reconnais cette voix, dites*moi pas que c’est pas vrai
elle rentre dans la chambre telle une furie, persuadée qu’une femme est cachée sous l’lit
moi, devant la scène, je souris, ça la met à deux doigts de la tuerie
“j’suis un p***, j’suis une p******, j’suis une p***” : toutes les insultes sont débitées
j’sais pas si tu situes l’action, j’suis dans une situation impossible à expliquer
j’la laisse faire tout son boucan
heureus*m*nt qu’ça s’passe pas comme ça tout l’temps
j’ai rien à me reprocher, pourtant
mais faut croire qu’c’est un jour sans
[outro]
j’voulais juste me poser, tout à fait
l’impression que la poisse me court après
des fois, tu sais, hey, eh, hey, eh
c’est abusé, hey, eh, hey, eh
j’voulais juste me poser, tout à fait
l’impression que la poisse me court après
des fois, tu sais, hey, eh, hey, eh
c’est abusé, hey, eh, hey, eh

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