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lirik lagu jamais – rafal

[refrain]
si je m’arrête, je meurs
on fait du biff sa mère
les jaloux et les putes savaient
mais ces bouffons ne maillent jamais
percer dans le rap, combien ça me coûte ?
j’ai perdu des frères en cours de route
je les oublie jamais
si je m’arrête, je meurs
je les oublie jamais
tu sais d’où je viens, mais pas où je vais
c’est pas du diabolo dans mon verre
j’allume un gros kamas dans lе fer
on fait du biff sa mère
les jaloux еn face veulent nous faire la guerre
dans la bataille, j’ai perdu des frères
je les oublie jamais

[couplet 1]
les démons me passent pas
j’ai remué ciel et terre dans l’espoir de secourir casca
regarde on plonge dans le plasma
je vise le cœur pour les blesser
la cia qui frappe à ma porte
j’envoie tout mon sh*t dans les wc
et on prend la fuite avec elvira
2.45 dans les virages, on surfe sur la terre ferme
je cherche un adversaire
yeux rouges comme le berserk
le jukaï est si loin de vos monts et merveilles
là où les fils de pute sont décorés
elle ne me reconnaît plus depuis que j’ai touché des lovés
je fonce vers le but, contrôle, reprise de volée
[pré*refrain]
les deux mains sur le volant
si je m’arrête, je meurs
tourner plus qu’un handspinner
pour devenir le boss final

[refrain]
si je m’arrête, je meurs
on fait du biff sa mère
les jaloux et les putes savaient
mais ces bouffons ne maillent jamais
percer dans le rap, combien ça me coûte ?
j’ai perdu des frères en cours de route
je les oublie jamais
si je m’arrête, je meurs
je les oublie jamais
tu sais d’où je viens, mais pas où je vais
c’est pas du diabolo dans mon verre
j’allume un gros kamas dans le fer
on fait du biff sa mère
les jaloux en face veulent nous faire la guerre
dans la bataille, j’ai perdu des frères
je les oublie jamais

[couplet 2: iama]
je les oublie jamais, parti de rien sur moi j’ai dix salaires
on fait du biff à l’aise, la rue c’est chaud n’y laisse pas ton fils, sa mère
cloué à mes vis, j’recomptais que des dix tout à l’heure
j’envoie la musique depuis l’everest dans l’interstellar
c’est rien que des camés, ils diront que je suis bon le jour où je vais caner
je fais deuspi comme sané, ces fils de pute diront qu’ils m’ont dépanné
on a donné avec le cœur, et même dans l’investiss*m*nt
un jour tu vis, un jour tu meurs
que dieu me reprenne si je mens
les mains dans le sang j’ai même des flash
je te revois étendu sur le sol, l’air menaçant
calibre en main pour faire un film intéressant
pour faire du sale, du rire aux larmes
on a tous vu la faucheuse au fond de ton âme
[refrain]
si je m’arrête, je meurs
on fait du biff sa mère
les jaloux et les putes savaient
mais ces bouffons ne maillent jamais
percer dans le rap, combien ça me coûte ?
j’ai perdu des frères en cours de route
je les oublie jamais
si je m’arrête, je meurs
je les oublie jamais
tu sais d’où je viens, mais pas où je vais
c’est pas du diabolo dans mon verre
j’allume un gros kamas dans le fer
on fait du biff sa mère
les jaloux en face veulent nous faire la guerre
dans la bataille, j’ai perdu des frères
je les oublie jamais

- rafal

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