lirik lagu sang bleu – rr (fra)
[paroles de “sang bleu”]
[couplet unique]
on a grandi, fils de p’, on n’est plus sur le même terrain, y a qu’les ballons, y a plus d’stade
bienv’nue à m*rs*ille, j’peux t’enlever la vie, ça m’couterais moins cher que ta pub snap
j’t’envoie une meuf pour l’embuscade, c’est fini les ti*peu qui t’cognent gros
cette année j’fais marcher ma p’tite tête, j’fais du rap, j’investis sur le bitcoin
j’vise la cible, pas dans l’tas, j’ai l’cœur qui brûle, j’suis pas dans l’brasier
j’crois qu’cettе vie là, c’est pas rentablе donc j’ai pris mes couilles, une lame en acier
soit j’nique tout, j’finis lamentable, dans l’bar à t’parler d’la mentale
j’regarde sur la montre, j’reste pas long time, laisse les faire les youv’ quand les ballons parlent
nous, on a grandi dans les cris, les pleurs, on était dehors quand nos mères taffent
quand nos mère prient, le cœur meurtri, je me plains pas, c’est l’omertà
j’fais la ière*pri puis j’arrête, truffé d’malheurs, je me perds pas
mais comme papa j’ai des principes et des valeurs : je ne pleure pas
en c’moment j’les sens bizarre, les sourires s’enlèvent quand j’rentre ici
j’pense pas qu’à ma gueule quand j’remplis l’sac, pour t’aimer, tes défauts, j’les anticipe
quatorze piges, j’vois les grands qui s’arment, une heure après j’entends les balles qui sifflent
ils parlent très peu tous les gens qui savent, jamais à l’abri des gens bizarres
focus, réussite dans l’viseur, ça ferme des bouches, ça ouvre des portes
pas celles qu’les civ’ ouvrent à six heures, pas celles d’l’appart où y a des armes qui trouent des corps
tu sais qu’la rue, elle est belle et elle m’excite, en vrai j’sais pas si j’ai envie d’elle
mais elle m’a dit : “fais gaffe aux femmes, ici, y a qu’les clients qui sont fidèles”
petit frère regarde ma vie, j’veux pas qu’la tienne soit bien aigrie
leur fait pas d’sourire quand y a du soleil car n’oublie pas que le ciel est gris
dans l’rap, faut bien leur niquer leurs mères, ça suffit pas de bien écrire
c’est l’destin, moi, j’ai rien écrit et mes soucis m’font bien maigrir
dz, j’oublie pas d’où l’on vient, c’est la vie, on est c’que l’on est
faire du biff et puis m’éloigner vu qu’y a que maman qui veut mon bien
j’connais la fin avant la fin, on s’aime, on s’arrose, pas pour l’palmarès
la mort c’est gratos et nique ma paresse, moi j’ai que ma force et ma faim
rr
[outro : american gangster]
en affaires, le plus important c’est l’honnêteté, l’intégrité, le travail, la famille, ne jamais oublier d’où on vient. on est c’qu’on est sur cette terre, de deux choses l’une : soit on est quelqu’un, soit on est personne.
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