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lirik lagu quand la nuit vient (21) – rufyo

[intro]
j’me suis endormi
dans mes rêves
dans mes rêves
dans mes rêves
dans mes rêves

[couplet 1]
(huh)
tout est calme
j’le repète et c’est faux hein ?
rufyo, j’ai perdu mon ombre trop tôt
hey yo mais vous êtes où ?
trop loin pour qu’on s’console
des sourires sur des photos : tout est faux, tout est conforme
et il pleut tant qu’on pleure, nos drames font nos histoires
dans l’noir, j’voulais tout faire sauf dire au revoir
mais y a que du marbre, dur comme du marbre
mon cœur est froid et dur
mais y a plus rien qu’du marbre
alors j’te parle d’amour, moi j’te parle de c’que j’connais pas
j’te parle de haine et tu m’connais hein ? j’me connais pas
moi j’ai besoin des flash, même si j’les deteste
j’ai besoin d’leur montrer c’que je vois quand j’roule fenêtre ouverte :
le plus dps, des plus mignons des mignons
c-ssé, fragile, guéri par des millions
hey yo le swag au plafond, l’envie d’sauter du balcon
la vie rêvée : le rêve de vie, d’un vrai p’t-t garçon
personne comprend vraiment quand j’dis des choses simples
blanche-neige, entourée de 7 tainps
aliya on m’a dit
elève toi il faudrait
en attendant j’essaye de pas m’canner plus que j’devrais, c’est tout

[refrain]
et quand la nuit vient, laisse la lumière allumée
j’suis si bien dans mes cauchemars, j’ai peur de rêver
j’ai peur d’y rester
(huh)
tu sais j’ai du mal à dire merci
tous ceux à qui j’voulais dire au revoir sont déjà partis
ailleurs ce sera mieux qu’ici
et j’me suis endormi dans mes rêves
endormi dans mes rêves, j’ralentis quand j’peux et j’m’élève
mais j’me suis endormi, endormi
j’me suis endormi dans mes rêves
endormi dans mes rêves, j’ralentis quand j’peux et j’m’élève
mais j’me suis endormi, endormi
dans mes rêves

[couplet 2]
au cœur de l’incendie, le cœur part en poussière sans crier
on m’a dit c’est trop p’t-t d’briller, faut prier dieu, j’ai cillé
(huh)
j’veux oublier, j’déchiffre mal les vitraux
j’vois qu’mes perles opales m’orientent vers les cristaux, les billets
j’en parle avec mon père, et j’sais qu’les silences nous peinent
même du haut de cœur défense, j’me tais, la distance nous freine
où est ma haine ?
j’descends les marches du ciel sur la rambarde
j’trouve mon point d’chute sur des cambrures de t-ss en balle
trop d’soucis pour m’soucier encore d’ceux qui s’soucient de c’que j’ai bu
j’sais juste que mon paradis se remplit de plus en plus
eh, tous mes miroirs sont brisés
j’voulais plus voir mon reflet me viser
un tête avec le mur, j’conduis, j’ai tisé
« meurs jeune, meurs célèbre », margiela sans les lacets
chérie-chérie, dans ta pet-te robe versace
écoute mon cœur, et ressens son absence
maintenant dis-moi comment tu vas faire pour ne pas me l-sser, mais viens
j’m’en fous d’savoir comment
avant de m’endormir j’pense au moment où j’aurai besoin de dire « combien ? »
c’est rien tant qu’le marbre est bleu klein
on ira danser sur la paume de l’espoir, des étoiles dans les mains
(huh)
j’aimerais rêver, mais mes yeux n’se ferment pas
si j’dors comment être sûr que mon soleil ne meure pas ?
j’aurais l’american express black, tu m’dirais qu’j’suis laise-ba, mais tant qu’j’peux pas changer mon monde frérot je sais que je pèse pas

(outro)

- rufyo

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