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lirik lagu commencer – ry’s (fra)

[paroles de “commencer” ft. esmo]

[refrain : ry’s]
yeah, faut qu’y ait plus rien qui m’atteigne (wouh)
pour soulager ma peine, mettre les soucis dans la benne, yeah yeah
faut qu’je voie cette fille mais j’sais plus trop laquelle
faut qu’j’trie plus de deux*cents maquettes
tous ces récits dans ma tête, yeah yeah
je sais plus par où commence*e*er (alright, alright, alright)
cinq heures du mat’, je baille, je sais plus pensеr, ok, ok (alright, alright, alright)
[couplet 1 : ry’s]
j’dois faire mes dièses vitе (yeah), avant qu’cette pression m’pourrisse l’esprit
les mains vers le ciel, j’fais confiance à dieu pour les scripts
neuf heures du soir, j’traîne entre quatre blocs, des cannettes, des tas d’clopes
j’écris deux*trois notes sous ma veste grise (ooh)
poto, laisse bé*ton, tu feras pas l’poids (yeah, yeah)
quand tu rappes sérieus*m*nt, j’te jure, j’sais pas tu racaves quoi (oo*ooh)
il m’faut un lamborghini huracan 3 (wouh, wouh)
si j’te raconte des trucs que j’ai vus, j’sais qu’tu vas pas m’croire (yeah, yeah, yeah, nan)
tous les jours un test, le bon dieu qui m’éprouve
où sont ces putains d’clefs ? j’dois être le premier qui les trouve
plus l’tir est précis et plus j’agrandis les trous
le temps passe vite, mon reuf, et toi, t’es là, tu ralentis, mais grouille
tu vois l’dél’ ? c’est ry’s et mo*es (okay, okay)
t’aimes faire le modeste, quand tu rappes c’est grotesque
j’suis dans c’truc, et j’le fais bien (tu connais)
egn, ly, tu sais d’où j’viens, yeah

[refrain : ry’s]
yeah, faut qu’y ait plus rien qui m’atteigne (wouh)
pour soulager ma peine, mettre les soucis dans la benne, yeah yeah
faut qu’je voie cette fille mais j’sais plus trop laquelle
faut qu’j’trie plus de deux*cents maquettes
tous ces récits dans ma tête, yeah yeah
je sais plus par où commence*e*er (alright, alright, alright)
cinq heures du mat’, je baille, je sais plus penser (alright, alright, alr*)
[couplet 2 : esmo]
j’devais t’écrire une lettre mais, comme d’hab’, j’sais pas par où commencer, mon reuf
dehors, ça va, là*bas, dis*moi comment c’est, mon reuf
au secteur, ça change ap, on continue à charbonner
pour brasser du comptant puis passer du bon temps
les années passent et ça s’voit à nos veuch grisonnants
on voit plus les gueush’ qui zonnaient, on les terre en les emprisonnant
les ti*pe partent aux quatre coins du globe
certains y vivent encore, même s’ils taffent loin du bloc
j’suis positif, pourtant on squatte toujours la rubrique “faits divers”
guillotière, tu prends un coup d’chaud même si c’est l’hiver
dieu bénisse ma team, il a fait d’nous des mectons sages
des pélos responsables qui vont quitter le béton salle
j’aspire à monter en ayant le vertige
j’mène ma vie terrestre en créant le verdict
pourvu qu’on aie pris la bonne route, les bonnes intersections
seigneur, j’ai conscience de mes pêchés, mes imperfections

[refrain : ry’s]
yeah, faut qu’y ait plus rien qui m’atteigne (wouh)
pour soulager ma peine, mettre tous les soucis dans la benne, yeah yeah
faut qu’je voie cette fille mais j’sais plus trop laquelle
faut qu’j’trie plus de deux*cents maquettes
tous ces récits dans ma tête, yeah yeah
je sais plus par où commence*e*er (alright, alright, alright)
cinq heures du mat’, je baille, je sais plus penser (alright, alright, alr*)
yeah, faut qu’y ait plus rien qui m’atteigne (wouh)
pour soulager ma peine, mettre tous les soucis dans la benne, yeah yeah
faut qu’je voie cette fille mais j’sais plus trop laquelle
faut qu’j’trie plus de deux*cents maquettes
tous ces récits dans ma tête, yeah yeah
je sais plus par où commence*e*er (alright, alright, alright)
cinq heures du mat’, je baille, je sais plus penser (alright, alright, alright)

- rys fra

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