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lirik lagu homicide (french remix) – saitam

[intro : smokey legendary & logic]
son, you know why you the greatest alive?
why, dad?
because you came out of my b-lls, n-gg-
hahahahahaha
(roof!)

[couplet 1]
j’me rappelle peu d’avant, quand j’aimais peu les gens
“no future” sur mon sac salomon
sale môme, salement, seul au monde
quand j’aimais les meufs avec une salamandre sur la jambe
j’étais même pas un homme, pas un homme, non
j’voulais être une idole, une idole, ouais
j’voulais ‘quer-n’ avec une demie-molle mais
je n’étais qu’eminem du lidl, han
quinze ans plus tard, j’suis comme la plupart
j’esquive le voisin qui cherche avec qui parler
j’attends la kippa et finir comme guy carlier
toute l’année, le cul dans les palmiers
toujours un sale porc dans l’équipe de la bac
toujours un vieux pote qui baiserait bien ta femme
posé au cours, j’attends aucun miracle
j’observe les pigeons auxquels il manque une patte
garde tes distances, j’esquive mon espèce
tellement dans l’bien, sheitan me respecte
destin des stars : piédestal instable
les célébrités, c’est comme les singes dans l’esp-ce
ils m’connaissent pas, j’attends pas qu’ils m’estiment
si j’n’ai plus d’haine, j’n’aurais plus d’combustible
vends-leur ton fut’ et ton fion comestibles
la valeur des putes, c’est le prix du textile
oh, j’ai le même flow depuis eminem show
pour des nouvelles shoes, on fait des vilaines choses
je te laisse croire qu’on n’a si peu d’espoir
mais on grave l’histoire, comme les murs de lascaux
depuis l’adolescence, aucune cause à défendre
la résistance a aiguisé mes sens
de janvier à décembre, que du feu et des cendres
depuis ma naissance, j’suis un bidon d’essence
je mène mes peines et t’amène les mêmes séquelles
et démène ce qu’elles dégainent, dégueulent du ‘bel
et dégomment, et des mômes deviennent des hyènes et bédavent des cônes
et décodent les codes des connes et se cognent
je mène mes peines et t’amène les mêmes séquelles
et démène ce qu’elles dégainent, dégueulent du ‘bel
et dégomment, et des mômes deviennent des hyènes et bédavent des cônes
et décodent les codes des connes et se cognent, salope

[couplet 2]
ouais, j’vais t’dire où j’étais tout c’temps
au bord de l’autoroute avec une pute du mans
un soir, elle s’est fait faucher par une voiture blanche
pendant qu’elle m’suçait sur la bande d’arrêt d’urgence
depuis, j’me branle éperdument
en attendant que ma meuf décide de perdre du ventre
mais, pas d’bol, chérie
y’a que ton grand-père juif qui a réussi l’régime du camp
définition d'”indéfinissable”
c’est ton amour propre qui m’a fait du sale
j’ai vu mon pote tomber dans la drogue
‘fonce-dé’ sur la plage à renifler du sable
yo, tout d’suite, j’ai su
j’m’attendais à rien mais, pourtant, j’suis déçu
sept sur sept, j’enfile un survêt’
pour déplaire aux filles surfaites
beaucoup d’amour pour les miens, mais
quand j’leur dis : “je t’aime”, j’ai les mains liées
ils ont laissé la porte entrebâillée
j’les entends baiser depuis l’palier
tellement impudiques, j’ai vu l’premier pubis
dans un jardin public, donc j’ai grandi plus vite
la fleur au fusil mais la peur du vide
devant rappeur humide qui pleure devant gulli
tellement de vices sur la terre d’iblis
toutes ces conn-sses me suceraient pour un dix
mais mon honneur est sauf et mon esprit bien vif
je résous tous les meurtres avec si peu d’indices
saitam

- saitam

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