a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu bikr – sawyer compton

causons un peu, les valeurs qu’on exige de soi s’appliquent aux siens, ce soir tu payes ton verre et tu bois hors table
mon sang fait des bulles, j’ai pas la sagesse d’être bon, d’excuser tes fautes
elles pendent à ta gueule et ça m’démange d’être violent comme avec eux, qu’les violons jouent..
” s’déscolariser, c’est con ! ” : la risée des gens, c’еst les sans diplômes..
j’suis un gentil bonhommе sans histoire mais j’vaux pas un centime ? quoi qu’tu fasses, qu’importent les mots qu’tu dis, t’étais où quand j’avais b’soin d’toi ?
tu sais c’tournage ? j’sais c’que ça fait d’être seul au rdv !
gab’ et zawadzki aussi, comme trois connards à attendre dix mecs
j’y croyais comme un con, tout juste un tantinet
en vrai, t’avais rien d’convaincant : tu feignais l’amitié finalement tiède
peut*être y avait*il que tchi ? que c’était moi qui m’faisais des idées ?peut*être que c’était le style jogging genre tous les mecs en déche s’entraident ? j’voulais bêtement l’faire
sale traître ! j’te la fourre dans l’derche sans cracher d’ssus, histoire que tu t’en remettes jamais
et j’fais pas d’courbettes à ces chiens qui m’regarde avec des gueules asséchées
j’suis avec ma pétasse aux champs*élysée dans mes rêves, talons channel aux pieds

j’me r’vois jeune comme si j’étais devant ma chambre
s’il s’agit d’vengeance, la haine c’est une chose et y s’trouve que j’ai des revanches à prendre..
j’avance sur putain d’bécane d’un h*lls angels !

toujours une batte comme un biker, un cuir comme un biker, en bande comme les bikers
ton équipe, c’est les crackers à l’happy hour qu’on mange que comme ça
t’as la mentale des bikers toi ? t’en as pas l’air, t’es dans les bails greum’
j’suis comme au ras des pâquerettes mais c’toi l’amateur si t’es à ma table !

talons channel aux pieds mais le réveil sonne à 05h
j’suis nonchalant, l’autre pédale de collègue est payé plus en foutant moins et j’ai toujours ni longchamp ni louboutin..
y’a d’méchants bouquetins cachés dans le beau salon d’un chalet d’vacances
leurs cornes en disent un peu à propos d’eux
c’est très pauvre en propreté, les relents des égouts, les romanciers du hood qui écrivent un peu illettrés
les crevards et les hoes, le son des secondes et les relances des propriétaires
c’t’en perdre ses poils ce stress mais lui n’s’est pas soustrait à moi :
il m’a fait boire d’une traite et mit ma mère sous traitement
les jours heureux s’sont barrés en c’qui concerne ma famille :
l’autre fois, j’ai feinté d’un sourire la daronne comme un enfoiré
j’ai pas mesuré ma parole, pas mesuré la distance qui me séparait de sa gifle
au moment où j’ai dis ” ta gueule ” elle me jetait sur le pavé..
quand la machine s’use, psychologiquement j’encaisse plus que logiquement sans rire
quelques liasses magenta gagnées dûment en showcase m’aideraient à m’endormir
là mes cernes transpirent le mauve et cette envie d’succès précoce
t’imagines même pas les dommages si la vie m’sucrait cette chance
j’me r’vois jeune comme si j’étais devant ma chambre
s’il s’agit d’vengeance, la haine c’est une chose et y s’trouve que j’ai des revanches à prendre
j’avance sur putain d’bécane d’un h*lls angels !

- sawyer compton

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