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lirik lagu trip – sciences peura

[paroles de “trip” ft. seth, jeunejano, rathures]

[intro : hk]
eh

[couplet 1 : hk]
j’fais du sale, un peu sad, un peu high bro
j’fais du mal, j’fais des tâches dans les blèmes*pro
j’remplis ma [?], y a les [?] plus haut
j’vois ma face, mon reflet dans une flaque d’eau
j’suis pas d’ceux qui mettent une croix juste pour le style
tu veux qu’j’te fasse des miracles, donne*moi une prod, un stylo
attiré par freedom, sur bateau, je sillonne
attiré par les sommes, sur bureau, je charbonne
la désillusion a pris l’paradis, j’suis dans mes visions, dans mon paradigme
et j’me perds dans tous mes paradoxеs, j’crois j’ai pas compris tous les paramètres
devant lе ciel, j’me sens tout p’tit
humilité, j’reste poli, je serais seul dans ma folie
[couplet 2 : jeunejano]
j’suis défoncé, j’suis dans l’appart avec mes nakamas
des gars comme, ça y en a pas beaucoup du même acabit
j’suis pas un capi capiche, j’fais ma sh*t, mettre bdx sur la carte et m’attabler
boeuf de kobe, j’le coupe au katana
cup de codé te couche, j’suis actif à balle
j’suis 13.12 comme acab, elle s’trémousse, j’la capte
elle est très douce comme ma came, le diable à mes trousses comme cartable
j’fais pas mes oues*s comme racaille, j’les détrousse comme rackam
j’me crois dans les rues d’arckam, des fois, j’suis cru comme cartman
j’écris comme si j’avais quatre mains
à un contre quatre, en un quatrain, j’les écarte, man
la ville, j’la vois de haut, ma gueule, j’suis sur les toits
en bas, y a les mômes qui crient à té*cô, des motos qui cabrent
j’allume un gros qui tappe, ils s’allument à grosses guitares
t’as plus le même regard une fois qu’t’as vu jano qui rap

[couplet 3 : 33]
j’crache la fumée comme un [?], on s’l’échange comme au mercato
là, j’tue la prod, c’est l’hécatombe, accepte mes rimes comme un cadeau
bras long comme un capo, respecte mon nom comme al capone
elle m’dit qu’en rap, j’suis un cador, veut son sac en alligator
aujourd’hui, tu m’critiques mais tu f’ras preuve de mimétisme
j’agis pour mon éthique, cherche le bonheur de mon équipe
devant elle, je souris, faut qu’j’évacue, la rime est triste
là, j’rappe avec les tripes en espérant qu’ça monétise
ma mère s’fait du soucis, sur mon bigot, m’envoie des textos
j’lui dis pas s’inquiéter, “tu t’fais du mal, maman, tu stresses trop”
déçu ce regard, son fils l’éclaire que dans ses textes, gros
j’aurais pu faire bien mieux avec du taff, même quand t’es sciences po
palettes au volant, j’suis défoncé, j’ai pas vu l’heure
ma belle s’veut faire la malle, veut plus sa bague à l’annulaire
un coup, j’veux disparaître et le lendemain, qu’on m’adule
j’hésite entre l’peu*ra, les études et tout annuler
[couplet 4 : rathures]
t’apprends à marcher, puis à courir
là j’suis qu’à 30%, mais pour ma cause, j’suis prêt à mourir
t’apprends à souffrir quand t’as des besoins à assouvir
ils sont partis en tête dans le marathon, maintenant, j’les vois accourir
j’ai pas fait trois cents maquettes pour laisser ça pourrir
en creusant notre sillon, l’instru s’retrouve labourée
on bosse tous les jours sans chercher de raccourci
et s’tu veux des rimes pauvres, j’peux pas t’fournir, j’t’avouerai
l’passé me fracture, mes ratures brûlent le m*i*c
faut qu’ils payent une facture plus grande que le p*i*b
ma haine me demande des comptes comme un banquier du c*i*c
on s’est hissé à la première marche, en visant le p*i*c
dis*moi qui peut battre nos deux duos récents ?
on arrive dans tes rêves avec nos rimes fluorescentes
keepin’ my head up, i see the hours pass
your nothin’ more than sand in the hour glass

- sciences peura

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