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lirik lagu voraces – souffrance

[paroles de “voraces” ft. vald]

[couplet 1 : souffrance, vald]
tous les jours de l’année, moi, je les baise, cond*mné à être le best
entre mes lèvres de l’or, j’ai les éclairs de thor, j’attends le dégel
le gps met une tête de mort, on s’ra pas dans l’générique
le bénéfice peut même enlever les rides, y a pas d’médoc chez le médecin*légiste, casse ta porte (pah)
comme les boches, commе dans les films, on met la bâche, on connaît l’sommеt
on connaît la base, faut m’consoler, les voir monter, ça m’met la rage (yeah, yeah)
pilon de poulet, pilon, dites aux rats qu’on va tous couler
d’la case des indésirables mais j’leur chie d’ssus comme un prince des émirats
au milieu, c’est l’feu, autour, y a l’son des guitares comme chez les tsiganes
on n’arrivera pas jusque l’hôpital, en bas, tout l’monde flotte (m1m1)
j’ai la mémoire sélective, j’tranche dans le vif, comme les mains d’edward
c’est l’histoire d’un mec qui tombe dans le vide mais laisse tourner le disque (quelle vie)
pas besoin de beretta pour le faire, de ma f’nêtre, j’verrai les pieds de la tour de fer
l’amour se perd de là où je viens, personne revient d’là où je vais
sah, il est revenu comme jésus, v.a.l.d, codétenu (rah)
ils tiennent grâce aux gélules, j’cuisine la molécule (‘cule, ‘cule)
on en a fait, des sacrifices, ceux qu’ont payé sont rarissimes
j’fume trop d’marie*j’, la monnaie, la monnaie, des lovés avant le feu d’artifice
à la base, ils m’avaient tous cond*mné mais j’les baise ; la plume, c’est l’épée, c’est la guerre
leurs cerveaux, c’est la chair, lécher des culs ou couper des têtes, baisser la nuque ou couper les chaînes
mourir épuisé, à courir après les rêves, la drogue pourrit le corps et l’âme
a mis des familles au bord des larmes, j’fume la quali’ au bord du lac
ou les bords de seine, porte de paris, porte de montreuil, porte d’auber’ (porte d’auber’)
ils arrivent pour te faire
[pont : souffrance]
en bas, tout l’monde flotte, j’réponds au doux nom de “goat”
la putain d’vos races, vous êtes voraces
ah ouais, c’est comme a*ç (comme a*ç, comme a*ç), en bas (en bas, tout l’monde flotte)
en bas, tout l’monde flotte

[couplet 2 : vald]
en bas, tout l’monde flotte, flop de l’influenceur, au nom de god (hey)
une*deux, j’rentre en cabine, y a d’jà un ou deux corps, c’est le del*bor (hey, hey)
ton sh*t pue sa grand*mère, il a un goût de porc (hey)
ça sent l’enfer après la mort (hey), j’suis en guerre contre moi*même, je suis l’alien et l’predator
mais qui a bloqué l’elevator ? (qui ?) entre cafards, le maj’ on lève à tort
on devrait arrêter d’jouer les vatos, la vie, ça devrait être les vacances (yeah, yeah)
cramer l’avance, allez va*t’en, faut montrer ton cul, t’as pas capté la danse
le buzz, c’est un plongeoir au*dessus des requins qui te crient : “allez avance”
il faut d’la maille pour tailler, j’ai taillé ma mine, j’ai maillé
j’suis maïté quand, sur ses serpents, je mets des coups d’maillet
si y a moyen, on moyenne, ça, sois*en sûr et certain (sûr)
y a pas d’cayenne, y a quatre hyènes dans un parking souterrain
quand t’as de l’or dans les mains, sors*toi les doigts du cul, tu peux le faire sans piston
c’est juste un peu plus dur, ne te nique pas tout seul, faut qu’tu penses au futur
souviens*toi d’kanye sur le peuple élu, vodka/redbull, on m’arrête plus
j’écoute souffrance, tranche de vie, ainsi qu’la ‘tape, la cover, c’est un arrêt de bus
ils veulent tester donc je branche le mic’, j’allume tous ceux qui sortent vendredi
là, le studio, c’est un stand de tir (pah), si tu aimes ta mère, il est temps de le dire (pah)
tu peux passer, on attend que le pire (pah), le million est passé, on attend que le fisc
j’envoie le fer quand ça toque à la porte, malebolgia veut qu’j’guide l’armée des morts
mais je fais genre j’suis pas à*l, eh, j’fais genre que tout va pas mal, eh
j’fais genre c’est pas l’carnaval, eh, le rap est devenu soft, ça met du dop barbe à papa
moi, j’suis vorace comme à la base, niquez vos races comme à la gare (nique)
toute cette rage emmagasinée, on n’a pas fini de niquer des magasins
on l’avait deviné dès le bac à sable, ce monde est cruel, tout est écrasable (tout)
t’inquiète, je fume, tout est effaçable, t’inquiète, je fume, tout est effaçable
t’as rien payé et t’es passé à table, tu vas payer, on va t’passer à tabac
j’suis immortel, t’es à peine passable, toi, on te ken sur le siège passager
s’il reste de la prod’, je vais la saccager, je passe par montreuil quand j’sors de ma cage
et jusqu’à aulnay pour voir les dar’ et, à chaque fois, j’me dis : “faut j’les déménage”
bientôt, le rap, c’est plus de mon âge, en attendant, je les mets en nage
le v les prend en long et en large, levez les bras, j’suis revenu marger

- souffrance

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