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lirik lagu les dessous de palm brick – tedax max & just music beats

[paroles de “les dessous de palm brick”]

[intro]
jmb
tdx
palm brick
n*gga
just music beats

[couplet 1]
j’suis pas d’ces roulures, j’veux faire le rouleau (le rouleau)
ces négros sont plus proches de jason derulo que drakeo the ruler (merde)
un mot pour mes détracteurs, j’suis jamais bien loin quand leur mère est humide (jamais)
nous fais pas l’timide, t’étais plus bavard sur tes tweets (vas*y porte tes couilles)
solide sur mes appuis, cuit à point quand l’ingé’ presse “play”
loin des signes de gang du d*ckies, du bandana paisley (hein)
parle еn pesos, parle pas à ma place, nous manquе pas d’respect
reste vrai, pour être crédible, va pas d’t’perdre
notre ascension va pas t’plaire, j’l’ai refroidi, prends la couette
et pas l’plaid, c’est parfait, marche arrière n’est pas à r’faire (jamais)
t’as du flair si tu cernes le vrai du faux dans cette misère théâtrale
c’est dieu qui donne, pas d’marabout, [?]
à c’t’allure, on fonce droit dans l’mur
d’nos jours, la qualité, une denrée rare
on fait dans l’authentique, ils font dans la teinture (n*gga)
j’ai touché l’palais, le doigté, nous prendre de haut comme legate
on apprend l’vol dès l’plus jeune âge pas le cathé’
j’suis locataire, il faut que j’acquière
quand j’suis à terre, les faux acquiescent net (acquiescent net)
dans l’salaire, brut dans la manière de faire
j’intrigue comme une bête de foire, on est juste là par nos efforts (j’te jure)
deux olympiques sur un morceau pour un seul coffre*fort
t’imagines c’qu’on peut r’trouver dans un fiak ou un coffiot fermé
j’porte pas les [?], en survêt’, j’arrive à faro
j’ai vu l’niveau : effarant, on les fume comme rastafari
lyon 3e, côté jungle, viens visiter l’safari
[refrain]
avant l’micro, c’était la cagoule, la résine et la patrouille
quarante*huit heures d’audition, aucune charge, j’récupère ma fouille
sans lacet, à peine sorti, j’effrite déjà sur ma fume
j’connais les fer brochés, quand j’suis cerné, j’cherche plus à m’enfuir
avant l’micro, c’était la cagoule, la résine et la patrouille
quarante*huit heures d’audition, aucune charge, j’récupère ma fouille
sans lacet, à peine sorti, j’effrite déjà sur ma fume
j’connais les fer brochés, quand j’suis cerné, j’cherche plus à m’enfuir

[couplet 2]
naturellement scrooge, je traîne du flow, c’est pas d’la latence (n*gga)
ses fesses étaient énormes, j’en perds mon latin et mon latex (de ouf)
conservé comme gelato, tout dans l’carhartt comme lord apex
à ma table, y a pas d’apôtres, des idées, pas d’apport
conditionné à rester pauvre, si t’es dans l’vrai, ils coupent les ponts
plus dans l’mauvais sens du pompe, quatre genoux pour la pipe
y a toujours eu un décalage entre moi et l’endroit où j’habite
partout j’m’invite, j’évite de chier là où j’m’abrite (j’évite)
tout l’monde veut l’rouleau, rouler pour les gros dans les jantes chromées
le temps rétrécit, j’évite les chromes et les têtes cramées
tu finis la tête dans l’seau, appelle*moi john kramer
j’regarde leurs carrières avant leurs carrures

[refrain]
avant l’micro, c’était la cagoule, la résine et la patrouille
quarante*huit heures d’audition, aucune charge, j’récupère ma fouille
sans lacet, à peine sorti, j’effrite déjà sur ma fume
j’connais les fer brochés, quand j’suis cerné, j’cherche plus à m’enfuir
avant l’micro, c’était la cagoule, la résine et la patrouille
quarante*huit heures d’audition, aucune charge, j’récupère ma fouille
sans lacet, à peine sorti, j’effrite déjà sur ma fume
j’connais les fer brochés, quand j’suis cerné, j’cherche plus à m’enfuir
[outro : tag]
just music beats

- tedax max just music beats

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