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lirik lagu fleur de cactus – thed

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[refrain]
on m’a dit “suit le cortège” mais tous ces gars font qu'[?]
ce sourire te protège, ta bonté n’est qu’un alibi
toute une vie, dans la pudeur se noie
mes écrits valent plus d’or que moi
mais je tomberai plus dans le piège j’ai déjà eu assez d’ennuis
[?] j’ai vu de la lumière je suis sortis
c’est plus limpide en arpège, s’exprimer introverti
souvent ternis par des rumeurs sans voix
l’envie sévie comme unе tumeur en moi
[?] s’achève quand cеtte ardeur prend vie. c’est ce qu’on dit

donne*moi une bonne raison de tout foutre en l’air
redécouvrir la vie à l’unissons comme si j’était né hier
se jeter dans la spirale, sur une barque qu’on arrête pas
les cordes à mon arc ne tirent que vers le bas (eh)
hier encore je marchais sans remords, aujourd’hui je fais que douter (ouais)
l’art ou la manière pas de remords pas de cendres pas de prières
mais ça c’était hier
on s’attends pas à voir pousser une fleur dans l’ombre
pour chaque fissure c’est tout un monde qui s’effondre
et si t’observe bien (eh), au milieu des décombres y’a pas de quoi se morfondre : c’est juste un monde qui s’effondre
maman chez moi tout est à refaire
je me suis juré de changer. mais j’ai mentis je préfère me faire à l’idée que je vais déplaire
ces gens bornés sont d’un ennui
au son de la vie je m’en tape j’suis une déréglée
j’sais pas si j’saute les étapes ou si j’passe à côté
tu perds ton temps à vouloir le remonter
[?] longtemps ce sont souvent ces sales histoires qui t’on marquées
trop d’ambition, consumé par la flemme
trop de fumée dans les poumons et d’alcool dans les veines
des paroles dans le vent ouais. j’sais plus où ça nous mène
un adieu sincère, vaut mieux qu’deux “je t’aime”
celui qui danse est pris pour un fou, par celui qui n’entends pas la musique
celui qui pense trop finit souvent saoul pour, s’sentir plus à l’aise en public
en somme, tout n’est qu’une question de point de vue
l’homme éteint l’eau pour l’homme
rien de plus sur le visage pourtant fermé d’une passante dans la rue
s’échappe un sourire, comme une fleur de cactus (hey)
avisé lucidité clairvoyance idées noires
névrosé fatalité évidence sans espoir
on trouve chez l’homme, les racines de sa violence dans les traumas et les carences qu’il a subit pendant l’enfance
la spirale continue de tourner
je m’retrouve chaque seconde, plus loin de la réalité
j’me ferai jamais à l’idée que quelqu’un m’aime
devoir faire face aux problèmes
rester [?] quand même
manque d’infos sur le cv alors je m’invente des qualités
a chaque envie à chaque flemme, sa musicalité
tourner des pages vides
une feuille vierge comme emblème (hey)
ca va encore dire “on est heureux” la bohème
la bohème, ça veut encore dire “on a 20 ans”
on vivra toujours de l’air du temps
etre capable, chaque matin de remettre la veille au lendemain du cartable au grand bain
j’me réveille lentement
[refrain]
on m’a dit “suit le cortège” mais tous ces gars font qu'[?]
ce sourire te protège, ta bonté n’est qu’un alibi
toute une vie, dans la pudeur se noie
mes écrits valent plus d’or que moi
mais je tomberai plus dans le piège j’ai déjà eu assez d’ennuis
[?] j’ai vu de la lumière je suis sortis
c’est plus limpide en arpège, s’exprimer introverti
souvent ternis par des rumeurs sans voix
l’envie sévie comme une tumeur en moi
[?] s’achève quand cette ardeur prend vie. c’est ce qu’on dit

la première fois c’tait tard
j’ai perdu foi soit disant l’autre derrière moi, il était tard
t’as connu y’a 10 ans
loin de moi l’idée de partir défaitiste (ouais)
mais le seul fait d’être incompris, fait pas de toi un artiste
le vent te porte, mais le temps l’emportera toujours
ceux qui prétendent tout plaquer de la sorte, jamais ne prévoient le retour
si j’embrasse ton âme ton corps va suivre
si on baisse les armes, le sort laisse vivre
j’admire la sim en attendant le décollage
mitraille de rimes réinventant le paysage
toute la beauté de ce monde dans tes yeux
s’il te plaît, me laisse pas tomber amoureux
pagaille de vices dans un semblant de métissage
casser dans un abîme à faire semblant d’être sage
rêver de “fame” c’est pas un crime
je veux juste tourner la page et j’rime
de dérapages en dérapages
[refrain]
on m’a dit “suit le cortège” mais tous ces gars font qu'[?]
ce sourire te protège, ta bonté n’est qu’un alibi
toute une vie, dans la pudeur se noie
mes écrits valent plus d’or que moi
mais je tomberai plus dans le piège j’ai déjà eu assez d’ennuis
[?] j’ai vu de la lumière je suis sortis
c’est plus limpide en arpège, s’exprimer introverti
souvent ternis par des rumeurs sans voix
l’envie sévie comme une tumeur en moi
[?]s’achève quand cette ardeur prend vie. c’est ce qu’on dit

le cul posé sur tes valeurs en bois
tu veux briller mais c’est plus l’heure tu vois…

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