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lirik lagu comme à chaque fois – toziako

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on s’était promis que c’est la dernière
on avait maudit nos adversaires
nos lâchetés, nos vices des fois pervers
peut-on racheter nos vies des fois j’espère
mais je laisse faire
coincé dans le cycle des saisons qui sans cesse s’enchaînent
sincère
faut que je m’émancipe de ma prison, je me confesse sans gênes
l’histoire se répète on est perdu
prend les paris on est perdant pardi
l’histoire se répète on s’évertue
et on prétend crari être excellents amis
mensonge
on s’écoute pas au mieux on se tolère
on se tutoie odieux sous nos faux airs
on se côtoie au lieu de se connaitre
donner sa confiance pourquoi ?
tendre le bâton pour se faire battre ?
faut sortir à temps de ce spectacle
t’auras ta conscience pour toi
et comme d’hab, on se lève avant le soleil
on se couche sans trouver le sommeil
on se touche devant l’oseille et le progrès
joder, sourire forcé comme le joker
on était fait pour les hautes sphères
j’gratte un ticket faut que j’prospère
l’avenir sur un coup de poker
chaque jour tu crois au bon tirage
un mirage, horizon sans rivage
une image, une prison sans grillage
envisage l’illusion sans clivages
calibrage, désillusion, pillage
cirage, c’est nous qui faisons briller l’élite
moi qui rage en faisant couler des litres et des litres
dédie le délice de ces lignes au débris de service
qui dévie de sa piste au mépris de ces vils
et leurs vices, y’a que nos choix qui nous définissent
échecs répét-tifs, la vie c’est bâtir un édifice
mais jamais très loin du précipice
paraît-il, faut garder son cap, ses cibles
on cours après l’inaccessible
quand on y est on trouve ça pas terrible
puéril, on sera jamais r-ssasiés, on va jamais s’-ssagir
la vie un fleuve à choyer qu’on s’évertue à tarir
bateau à peine amarré je ne pense plus qu’à partir
je suis pas un homme à marier, j’suis qu’un fantôme à bannir
je peux pas me les voir, pas me les sentir, on peut pas s’entendre
tout ça n’a pas de sens toute ma carc-sse en tremble
beaucoup de nuisances, peu de jouissances mais l’etat s’en branle
c’est soit on écrit notre histoire soit on s’efface ensemble
et chaque jour que dieu fait il faudra se lever, embauche à l’aube
avec toujours aussi peu d’épanouiss-m-nt d’un job à l’autre
coincé dans le cercle vicieux à mille lieues des plans qu’on échafaude
on subit la routine d’une vie qui ressemble à tout sauf à la nôtre
ils parlent beaucoup mais ils disent rien comme à chaque fois
ils entendent mais ils n’écoutent pas comme à chaque fois
ils arborent tous un grand sourire mais y’a pas de joie
rien ne sert de courir mais y’a pas le choix
comme d’habitude on fuit la l-ssitude
de par des att-tudes qui nous mènent la vie rude
on cherche l’alt-tude on trouve la biture
désolante plat-tude écœurante salissure
décevantes particules qui s’crachent à la figure
pleines d’ingrat-tude et tellement pas d’issues
bordel, ma génération est hors d’elle
on crève d’un ennui mortel
on nous propose que des fonds d’teille
corneilles, corbeaux formels, corps déformés
cortèges, sorts post-mortems, porcs désinformés
toujours les mêmes résolutions
mêmes promesses de révolution
pas de prévision d’évolution tant qu’on cherche les coupables et pas les solutions
on s’raccroche à des illusions
a ceux qui prennent les décisions
on s’contente de leurs allocutions
on gobera leur diarrhée jusqu’à l’occlusion
comme j’aimerais te dire que tout va bien
mais je garde toujours le meilleur pour la fin
j’aurais voulu écrire de doux quatrains
malheureus-m-nt je reste habité de flous chagrins
idéalisé le p-ssé, sans cesse le ress-sser
puis fantasmer le futur ou bien le vampiriser
tous les souvenirs sont bons avec le temps
ou s’en vont avec le vent
y’a que le présent qu’on vit pas vraiment
raison pour laquelle on vit pas gaiement
on va se séduire et se plaire puis se détruire et se perdre
on va se réjouir de cet air puis se raidir et se taire
on va conquérir cette terre puis démolir cette pierre
on va déguerpir de cette guerre puis déglutir cette glaire
jusqu’à la fin dans ce manège
malade malhabile en bord de falaise
marrade fanatique, ign0ble fadaises
noyade dramatique, renfort de b-ssesses
salades admises, mascarade parfaite
pas d’-n-lyse, inénarrable c-sse-tête
ça paralyse, ça balade et maltraite
fait ta valise camarade on arrête
y’a des vérités qu’on attaque pas
on aime à se répéter qu’on a pas le choix
les veines dans nos tempes cognent à chaque fois
mais on tombera et on se relèvera comme à chaque fois

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