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lirik lagu lipogramme incongru sans les 4 dernières – trypera

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sur la lune en 69
j’avais perdu mes clés
allunisage non prévu
mars viens apres fevrier
bonne blague poisson
dans flaque d’eau
prendre la mer
quitter l’terrain vague
obéir sans broncher
jusqu’au désacord
tout semblait paisible
la colombe n’a qu’un p
la guerre 2 r
vindicte au tribunal
debout sur la guimbarde
petrolette à sec
la station fait pas credit
panneau solaire
installé sous ciel gris
l’ennui se déshabille
cravate et gros bonnet
sportif maigrichon
errant sans but
escalier panne d ascenseur
technicien en pause
jouant les ignorants
baleine en reconversion
cherchant stage en sarl
trésor enfoui
que le temps trouva
sous quant-té d’humus
délesté de rimes
la prose s’impose
35h pour mille trois
s ensuit un fou rire
travail egale contrainte
5 jours sur 7
levé avant l’aube
machine à café
qui porte plainte
pour maltraitance
art deletere
viager sous les bras
mort à benefice lucratif
mariage au lendemain
d’un divorce
chambre vetuste
poussiere dans les recoins
souffrant d’incert-tude
arracher un sourire
avant de detaler
admirer les ruines
deviner leur p-ssé
plonger sans reflechir
dans les escaliers
meteo couverte
bodin en t shirt
marche rapide
barge tapine
sourd portant plainte
pour tapage diurne
abeille en fourgon
ruche en granit
dieu sous alcool
refuse de voir quidam
millard d etoile
pillard décolle
flic sur l’ paillason
conso dans les latrines
peuple livré a lui meme
le dimanche c est l anarchie
kfc sur la lune
coca en apesanteur
palmier à huile
esclave de nutella
géant à la morgue
prenant toute la place
éclopé quemandant clope
chercher les probleme
n est pas une solution
combinaison préventive
moustiquaire et citronelle
citadelle recouverte
à chaque tsunami
les médias font un reportage
sur les reportages
l’arbre sur l’autoroute
signeras notre disparition
pic-sso pain
moi croissant
inutile de rêver
si on oublies tout
des qu’on s’reveille
parpaing attaché a la cheville
âme au fond du gouffre
cherchant la sortie
hier et demain
séparé par aujourd’hui
un marteau f’ra irruption
pour le clou du spectacle

les 2 iepds
sur terr-sse en ipé
j’observe la scène
mordu par berger allemand
monsieur hurle à la mort
madame prie tout les saints
l’poivrot en pleine activité
descend son éniéme verre
avant d’évacuer l’surplus
sur l’serveur médusé
en sortant des cabinet
l’proprio du clebs
s’mange une droite
qui l’fait atterir
sur la piste de danse
l’maître du lieu
se sentant démunit
va chercher munitions
avant qu’la cavalerie
pointe son pif
j’paie mon thé vert
et file à l’anglaise

gravillon stellaire
pavillon terrestre
l avenir c est les jeunes
contrées gouverné
qu’ par des barbons
orage locale
bora vocal
ça n’mords point
pecheur d poisson pané
sur la paille
hippo contre les robots
disponible sur internet
destination inconnu
faire du stop
sur piste d aterissage
10 piges de r-t-rd
mécene sur msn
naufragé dans l pediluve
genant l acces
au grand b-ssin
j’irais crever les pneus
du container qu’le destin
m’ordonne de vider
la forme fond
soleil éclatant
sur bonhomme de neige
biture et murge
le peintre en tient
une belle couche
5 mamouths
en sens interdit
contestant l’amende
gaucher ce monde
n est pas fait pour nous
évolution sélective
seul les meilleurs
tenterons de subsister
9 mois ferme
grosse enceinte
mur du son
le hasard est joueur
suicidaire devenu otage
j voulais coup de main
j ai eu coup d pied
radiateur en fonte
pesant une tonne
l etendard des prolos
n est qu un billet de banque
offrir un cendar
à un non fumeur
périr dans l incendie
puis renaître de ses cendres
siège ejectable
folie p-ssagère
obus dans la tronche
j’suis dans la lune
à la georges méliés
dans chaque échec
réside une réussite
audience en berne
montre tes seins
crier dans l oreilette
j’évite le centre
me sentant en sécurité
qu en dehors du champ
de leurs caméras
la revolution agricole
marqua le néolithique
qg de campagne
en pleine ville
vive les vulgarisateurs
qui nous machent le travail
poete bavard
quatrains d’alcide bava
a chaque siècle
l’art revit
fakir faquin
ruelle cruel
foule en colère
m’acquittant des frais
je regrette que la fourrière
ne m’ai fait la poussière
l’fichier s s’ prend un thé(t)
puis va acheter du pq
suffisamment d’matière
pour 2,3 projets
ortoolski écrira un jour
atlas sur l’atlas
persée transforme t-tans
chaque morceau est un
fragment de mon ame
21 grammes tout au plus
étre absent d’leur statistiques
m’apparaît essentiel
oposition farouche
nomade contre sédentaire
la 5 éme demeure
parait t’il introuvable
j apauvris pour enrichir
bouquin de georges perec

abécédaire de 22 lettres
baliverne dites sur balcon
can-sson carn-ssier
désirant devenir vegan
escalope en fin d’vie
flottant en corps inconnu
gilet sans manche
habitué à la faire
intervenant ivre
jouant d’la trompette
karaté sous la pluie
loin des préoccupations
materialisme accessoire
nu sur toile
obéisant sans réflechir
parmi les vivants
qui à sa place?
réponse à venir
sinistré devenu sdf
tentative de suicide
fantasque et brouillone
valise dévalant le vallon

chlorotique la lune..

camisole de force
hameau en pagaille
la nuit sera chaude
orteil en sang
ruiné suite à chute
oublier le présent
travailler son futur
incert-tude du mois
qui suis je au fond?
unité de temps
enfermé dans sablier
lion en cage
acceptant son sort
lacis de venelles
unissant le peuple
nature en danger
effaçant mes craintes
artiste productif
baillant 2,3 idées
rentier rampant
entre ses billets
utilitariste indécis
voulant sauver sa peau
enfant innocent
navré de la perdre
olivier en alaska
s’accomodant mal
âmes tiraillées
mimant l’ignorance
approfondir sans cesse
suffiras t’il à

circulation de liquide
propriétaire prioritaire
ministre dans les bouchons
cherchant le tire
l’futur des uns
dépend du présent
de certains autres
un manchot empereur
un tueur en pleur
des fous(effets)
ce sont docteur
un sombrero fait la sieste
à l’ombre d’une milpa
une golf sur un golf
un film de nolan
une course de fourmi
attirant des loupes
une grenade àthé
créant la polémique
l’art au 20 éme siècle
à lire sans tarder
le paradis n est q u illusion
ils ont p-ssé du roundup
dans le jardin d’eden
fardier en maladie
univers isotrope
burger à la banane
plat d’pate à modeler
un maître nageur se noie
un tableau prend froid
une lecture chronophage
des raisonnements archaïque
un jardin en mouvement
signé gilles clément
quelques badauds
occupant la chaussée
jusqu’à que la nuit
les délogent
une bétonnière criant famine
une -ssiette aride
une plante s’ennuie
une statue s’enfuit
un bouquin de steinbeck
des photos qui ravivent
quelques souvenirs
un kilo offert
pour une tonnes acheté
prendre son pied
dans un lupanar
doc-ment sensible
dans l attaché caisse
gravir le parn-sse( faire de la poésie)
sans devoir de compte
à autrui et autruche
rêveur au travail
ignorant l’averse
gardien de musée
en plein sopor
lune omniprésente
dans pages de moustiques
hologramme de dieu
dans les catacombes
pipeau s’invitant
à un meeting
arbre à papillons
flanant sur l’trottoir
tapé son code
a l’abri des regards
150 m de cloture
à poser pour hier
pelouse de remplacement
tapis vert pomme
l’épaule de jack
à pris une pierre
montée d’adrénaline
en descendant
de l’échaffaudage
ciel couleur citerne
p-ssant sous un pont
l’art ce n’est pas
que la peinture
chaque ville est un musée
les p-ssants une oeuvre
qui n’aime pas trop
qu’on la reluque
caste et case
ne crée que division
soif de savoir
comment c’etait c est
et ce sera
etre permeable au monde
sans trop se mouiller

l’étranger de camus
la conjuration des imbéciles de toole
l’alchimiste de coehlo
des souris et des hommes de steinbeck
la face b d’akh
je demeures paisible au travers de leurs gorges de villard

cheminement livresque partiel

ne cherche pas d signification
ce morceau n est qu une blague
qui ne fait pas rire

extrait georges pérec(auteur de la disparition)

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YANG LAGI NGE-TRENDS...

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