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lirik lagu tupan -poignée de punchlines – tupan

poignée de punchlines, just listen records
le fond d’la classe, brazilero m.c
ok, hein

[couplet unique]
depuis petit j’apprends de la vie d’musicien, t’étudies la vie d’entrepris
chez moi ce qui prime c’est l’humain, érudit d’la philanthropie
j’connais beaucoup d’cons qui rappent, qui pour du biff te mettent des feintes
ou pour un feat vont jouer les timps, ont leurs place a la jonquera
si chez eux la barre est hautе, alors chez nous elle еst spatiale
impartiale, tu veux qu’on tombe viens mettre a genoux des spartiates
ici m’amène pas d’kaïds, non les frères portent leurs couilles
oui galères mais se débrouillent, emmerde un système archaïque
double discours, polygamie on est plus rien d’c’oligarchie
à coups d’burins ils nous formates comme des putains d’origamis
l’amis j’ai peur pour la suite, de plus en plus d’mal a suivre
on devient pas che guevara parce qu’on à l’visages sur nos sweats
alors que nous regardons des milliardaires jouer en crampons
on célèbre l’arrivée de dictateurs et en grande pompes
l’hexagone, le pays des droits de l’homme
le même qui [???] toutes les règles, cherchant à chaque endroits de l’or
endoctrinés et on cours a notre perte, s’enrichit sans trottiner
mais viens pas m’dire la france est contre, toi qui n’as pas d’compassion
et qui a peur d’la transgression, je n’ai aucunes confiance en nos ministres, nos députés
demande a crown, une prod de plus qu’avec le cœur j’vais dépuceler
j’gratte des 16, en garde les cernes, mais a profit d’mes insomnies
sois le bienvenu dans l’rap, que tes phases soit lourdes de sens ou qu’tais pas lu un seul livre
j’suis un ovni car dans l’sourir [???] conscient dans le tiers monde de c’qu’un homme vit
écrit mes textes en autarcie, me fous qu’on m’signe ou d’être préféré des français comme omar sy
impossible que j’rappe a l’appel, j’rappe c’qui m’passe par la tête
pour le passionné de lettre jusqu’au cassos *n*lphabète
leurs morale fait mal au crane, un grand besoin d’ibuprofène
on n’touche pas certaines religions mais on peut tout dire du prophète
c’nest pas raciste non c’est un fait, et on peut traiter d’hérétique
je n’ai qu’notre unions pour vision, avec la bonté pour étique
j’rappe pas pour plaire au filles, ou de montrer c’que j’ai dans l’ventre
mais tous les jours j’fais couler l’encre, mon stylo doit être hémophile
j’men branle, que dans leurs game ils veuillent de moi, j’ai d’autres soucis a gérer
pourquoi tu crois que chaque weekend c’est gueule de bois
un seul devoirs, que tu t’y retrouve quand je décrit mon vague*à l’âme
dans une époque aux meurs troubles appauvries par les amalgames
“qu’est*ce qu’ils connaissent de nos vies”, les fils de putes comme florian philippot
ici* bas c’est dans l’illicite que depuis petit on s’oriente illico
on ne fait pas gaffe aux engrenages, on devient sauvages
jusqu’à ce que la vie te mette des baffes a t’rendre aimable
trompeuses sont les apparences d’une démocratie dictatrice
qui t’enchante par sa vie d’actrice, mais ne te laissera que des cicatrices
leurs politique et leurs justice font que nos vies sont chaotiques
la répression pour seule réponse, quand aux manifs tu parle aux flics
gagnés par l’amertume, je n’peux pas cautionner c’tépoque, c’est la qu’je stoppe
passe le salam a tes [???] et tous les passionnés d’hip hop

- tupan

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