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lirik lagu kh la merde [intro part.1] – unbased creator

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kh

ok, faut bien ça commence quelque part..
j’suis tellement une merde que j’arrive pas a commencer..
..j’suis cohérent quelque part?
est*ce qu’on a le droit d’se placer comme as’ ?
chepa
j’crois ça allait [dans cet esp*ce]
j’écris comme remplir une valise : ou elle rentre cette phrase?
ré’fléchit comme jouer a tetris : est*ce qu’еlle prend cettе place?
chepa
j’relance des parties jusqu’à je sens être grave técla
j’fais plus de répet’ que 100 spectacle

//

bref chepa..
(t’sais toi?)
..plutôt j’hésite :
réflexion infinie comme si
“mourir, ptet’ en fait c’est ça que je mérite”
fumer m’reconcentre : alors j’vais rouler ça pour trouver l’axe
mais, tout l’inverse de tout p’tit pet, et c’est la que j’me méprise…

chu complètement fait :
enfait je fume mon avenir pour le construire..
..c’est illogique mais bon c’est comme ça
c’est ma faute.. j’ai sauté comme si chu tombé dans l’piège :
le “bon” sh*t, les weed aussi : m’attendaient comme “ça”
tout seul devant ma page
j’me dit :
“putain j’ai trop écrit, est*ce qu’au final le faire tout seul j’en suis capable?”
“est*ce qu’ “on” m’a donné assez de temps pour y’arriver, avant d’être complètement con t’sais du genre bête..
..ou gravement malade

chepa. (putain)
mais bon j’espère..
c’est comme ça qu’on vit ?
si chacun son espoir, et qu’c’est d’la qu’né mon 16 :
ptet que je suis un âne.. avec une carotte.. sur une route en train de s’étirer.. :
je fais des kilomètres sans que l’on me respecte

(refrain)
ok.. faut bien ça commence quelque part
chu tellement une merde que je me demande comment j’fais..
chu cohérent comme un exemple : ex*cave c’que j’ai au fond
et chercher a faire le restant…je m’y emmerdes pas. (no flex)
j’écris comme remplir une valise : ou elle rentre cette phrase?
ré’fléchit comme jouer a tetris : est*ce qu’elle prend cette place?
chepa
j’relance des parties jusqu’à je sens être grave técla
j’fais plus de répet’ que 100 spectacle

//
bref
j’reste a me parler..
j’me dit du genre :
“est*ce qu’en étant moi même a coté de tout ces fakes ça peut marcher?”
“est*ce qu’aux cartes un mec en étant vrai il pourrait gagner?”
“est*ce qu’un diamant d’verre au putain d’test il pourrait passer?”

putain je suis bloqué
tout est contradictoire.. comme un sson*poi qui s’noie..
j’pense, et j’pense qu’il faut pas s’presser :
qui fabrique ta réflexion c’est pas loin d’qui fabrique tes rêves… en général tu fais du surplace en allant plus vite que marcher

je re*roule un joint j’suis complètement esclave de l’aboulie
(envie d’rien faire) sans ce besoin d’motivation assouvi
gros chu dans la cage avec moi même.. et chu en train d’me faire éclater..
j’tiens plus debout..
on dirait presque chu pas nourri

putain chu en train d’me suicider pour j’apprécie la vie
chu explosé comme si un gp touche avec 10 barils
marrant tout ces mecs ils parlent de volonté de mental, on en reparle une fois qu’toi aussi t’as fait fumer ta pyramide?

(refrain)
ok.. faut bien ça commence quelque part
chu tellement une merde que j’arrive pas a m’arrêter
chu cohérent sur plus de 37 barres
mais j’essaie quand même de faire mieux?
d’apprivoiser techniques ancestrales..
j’écris comme remplir une valise : ou elle rentre cette phrase?
ré’fléchit comme jouer a tetris : est*ce qu’elle prend cette place?
chepa
j’relance des parties jusqu’à je sens être grave técla
j’fais plus de répet’ que 100 spectacle
tellement mort b*tch
comme un mec en hors*piste
ou par exemple : homme qui a une vie c’est un peu pareil que dans incroyable talent, sauf que chu bloqué au moment ou ils comprennent pas ce que je fais, les mecs ils buzzent, ils sont trop bêtes, et j’me dit “vais*je en sortir?”
j’interprète les regards ils sont tellement tous pareils, j’pourrais lire dedans même endormi(s)..
putain qu’est*ce qu’elle a ma tête?
il faut m’dire.. et vite.. parce que sinon chaque putain d’jour on se déteste encore pire..

ma confiance en moi c’est comme les saisons
les degrés montent..
redescendent.. comme des*accords!
imagine un mec a qui on dit tout les jours
“ah oue t’avais raison”
mais qu’on putain d’continue a chaque doute qui arrive de lui dire qu’il a tort!
putain, après.. comme un trou du cul je cherches…. alors qu’au fond je sais pertinemment qu’on va me dire que j’avais raison….
gros je fais ça juste au cas ou c’est pas l’cas… :
sait*on jamais d’quelle manière on peut accumuler des réponses..

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