lirik lagu né d’un coup – unbased creator
(freestyle)
(kh)
(…)
“n’écoute pas ça écrans ça abrutit”
dit celle qui s’délucidifie chaque week*end avec écervelés et moutons
faits en pas d’lacets, en ballade sur piste
zik “merde en barre” tu chie si kick man, mes seizes c’est tel en air le fait des poumons :
d’géante soirée dead, sur des balcons avec des trentenaires
ou des tranquilles pépère, un peu comme celle*ci enchambré
néant qui sert d’très grande compagnie a faire des grands pers
p1, l2
a croire mes heures de sommeil, 600 ans j’ai
très envie d’être dé*encons*taminé frère c’est m’sent deg, en fait, sang vert il m’enterre
comme ça été fait
né en s’qui s’jette, mais en force a percé cette … j’ai en veine : tempête, sang s’mêlent et s’entraident
plus communément j’étais du sperme d’arabe que rien n’arrête j’ai brisé la capote avec ma tète, sans bras ni jambes étant microscopique, appelle moi : rage de vie, j’suis comme une plante qu’est née transperçant l’béton et quasi sans terre
juste le but c’est manger et penser a : pas j’deviens la def de nier à calom, en fait espèce d’empaf qui ment et s’vend, si faux qu’eau d’vie
appelle moi blaze de “qui”, peu communes pensée, j’les transfère sans cesse kicker ch’ka qu’ils m’enferment
chérie j’ai grande plume, plus qu’ma drogue, j’suis accro d’mots
des rimes étanches de plus d’une carotte, dans un seau l’pot
fait, j’kick et change le futur qu’approche en axe au veau*cer
métisse mélange de culture, salope, on a trop d’flows
tic, t’sait c’est c’qui précède mon tac
et en fait je suis fait, même la voix d’ma tète elle parle avec du flow et respecte les
kicks, très équilibré mon gars
et en fait je suis les flèches carquois doigt même cet arc ave’l’repos et l’mec même les
cibles, et défini t mon gars
je suis une horloge
(…)
ces quelques cases vides pour te rappeler qu’le temps avance
sans mentir aussi pour que je récup oxygène
un jeu infantile pour que la tète dedans s’balance
j’rap sourd
j’entend silence si j’suis concentré plus proche fils d’air
de sorte essaie d’faire que mes textes soit la plus qu’exacte définition d’c’est réel
doigt a la presse tue ses pour qu’tournent rotative mec j’veux qu’sa parle d’moi dans plus d’7² x π x 6trillon, qu’c’est des siècles
donc je reste buté a tout r’tourner
bro dans ma tète 369 pelles
ke*blo dans un cercle moi, dans ma chambre j’meurs, merde
pour s’en sortir ce serait comme sauter au moment dernier? peut marcher? mais comment le sait tu quand la planche heurte terre?
beaucoup d’philosophie mais pour moi la plus primordiale c’est “je sait que je sait r”
ok, ça m’aide j’comprend vite et pi c’est
j’apprend “autonomie” aka “çavaplusvitomie”
trace et degré d’2 équerres
collées, savoir est une ‘tite sphère, si j’ai :
mon esprit mon corp en cohésion c’est comme une botlane qui roule sur la map
arborescence innée, idées :
a structurer, fort en cohésion mais comme une grosse teille qui soule sur ma page ; c’est un
sale bordel empiré si dépasse une durée ; perte de controle et recherche une réflexion en les décombres en fait je crois qu’je suis une avalanche
pas b’soin pour gratter de prendre des médocs moi j’en ai besoin pour arrêter, mais j’aime pas ça, ça nuit sur la latence
donc
ça j’nen cons pas chacun sa pyramide, fume éperdument et le corps tiens tant qu’je n’ai pas le crack en première marche
grosse
frappe sans force la, gars c’est comme si j’rappait dans un rêve pu j’sentais qu’je dors bien, ça m’faisait flipper grave en première phase
putain, dans c’te merde je suis comme mario dans la mer qui nage, c’que j’cherche c’est les bulles d’air si j’en repère j’les récupère
en mode
lutin pour le pèze, je creuse des passages dans la terre si ca reflète c’est qu’c’est du fer, brillant “de veine”, des ecu ptet
tu co*
*mmence a capter l’mec est très loin d’être humain, en somme toute je m’appelle le gouffre en même temps l’récif qu’ulysse entend comme
2 âmes
en constante compet face a moi même, putain m’sent comme tout le temps ken, en course avec ma version ultime en fantôme
a la
base quand on m’a présenté cette pute je croyais c’tait la liberté j’me voyait déjà gueuler “merce le pen” (nique le pen)
ma chambre :
ma cage viens m’observer juste 5 minutes on verra s’tu veut continuer de fumer sur cette “merde qu’est le pet”
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