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lirik lagu têtu light – vil squal

quand t’es têtu faut toujours que ça vienne de toi même
encore plus, bien qu’c’est prouvé qu’on
livre de meilleurs con*
seils aux autres qu’à soi
j’fais un son, j’fais un dièse
ptetre pas envie d’ken
j’ai envie d’baiser l’instru, aider

pourtant j’écris a cappella, la main sur le zgueg, pourquoi j’dis ça
sans doute pour briser piano piano

l, le sais*tu ? le dieu de la mort ne mangent que des pommes

(comment j’vais faire en vrai
attеnds vasy)

ça comme king
j’accentue
mon poto faut pas qu’tu la fеrmes
j’oublie dans la minute la
eh nan j’l’oublie pas j’m’en rappelle
c’est dieu qui demande
ça fait

ça comme king
ah ouais
j’arrive accent sur
un p’tit des contrées près d’la méditerranée c’ est jamais comme d’habitude
un p’tit des contrées du sud, un p’tit des contrées
un petit contre les sorts jetés sur les squelettes d’hommes je fais
même des rimes de mes 17 piges j’pige puis j’ressors
dans l’tourbillon j’investis
dans l’vide sur le vent j’entreprends
un peu d’eau dans l’ oxygène
du gaz dans mes poumons
j’veux changer d’blaze j’veux m’appeler roteur
de feu à température osé tu l’sais
même des fameux succès
même des amis suspects
même des remplis d’gadjets
même des écrits sans termes
ça b*n*lise
menaces sans m’faire vraiment baliser
j’suis pour l’instant toujours là
grâce à tu sais mon botch
à c’qu’ils paraît j’dois encore gérer
m’enfermer, manier la lumière messager et ça

c’est toujours ces f*cking mood qui m’font vibrer
donc en vrai c’est la main sur l’ mic’
pas son*fon
par contre cané calé dans le studio
guelek c’est pas n’importe qui c’est deleau
dans l’reseau mon brozo
j’suis comme un rare trésor
facile comme un roseau
bien placé je rentre par derrière
davantage dégénéré qu’donner mon aval au piston, à l’illusion d’vivre, au taff en étant pas libre
sinon faut khalass
(punaise j’ai déjà fumé la clope ?)

j’prenais pas soin, si tu veux m’comprendre, j’dois juste expliquer
la douleur que j’ai ancré
sur la ville qui m’a vu naître
à montpellier blessures et rejets
abandonné ou adulé, seul au fond c’est pareil, quand tu t’sens
subir la vie tout ça
sans maîtriser la vue, sans force ça doit être qu’il faut rester bon, au moins rester vrai, c’qui fait qu’t’es frais
là quand j’écris j’éteins mes peines, on s’en fiche mais moi j’sais c’que ça fait d’se sentir compris en écoutant quelqu’un d’autre
jeune con j’ai mélangé alcool drogues et médicaments
pratiques calmants, imagine les comportements, bras piqûre, m’en

bas j’trace dans ma destinée

secret d’un enfant qui frappait
toujours rebel avec l’autorité
ça y’est t’as d’viné
il est où papy ? quant à toi

j’suis sûr c’est comme ça qu’l’univers se dérègle

heureus*m*nt j’vois des anges
jette toutes tes ondes négatives avec du sel dans un tissu noir
y’a pas d’maraboutage, c’est juste le squal qui s’protegeait
pour toujours comme les bisous à mon doudou
qui génèrent les boucliers c’est trop chou
mon fou tu m’écoutes nouvelle technique tu saisis c’est la défense qui marque les buts
les attaquants qui font les tacles
mtp quand ça vise
ne loupe jamais sa cible
attire comme le fise, et finis piégé, c’est discret on va pas dévoiler les signes
les atouts et les sabotages dans la ville
j’crois qu’tout l’monde a assez souffert
de pas laisser passer assez d’esprits libres

- vil squal

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