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lirik lagu romantique jusqu’à la mort – webee

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[paroles de “romantique jusqu’à la mort”]

[intro]
écrire
m’évite de dire
m’évite de lire
m’évite de mentir
écrire
m’évite de dire
m’évite de lire
m’évite de mentir
écrire
m’évite de dire
m’évite de lire
m’évite de mentir
écrire
m’évite de dire
m’évite de lire
m’évite de mentir

[couplet unique]
alors je marche sur le rythme
et croire que le monde est mythique (mythique, mythique, hey)
poésie de l’architecture dans angoulême
la ville de mon cœur celle que j’aime (grave)
ressentir la nature à fleur de peau
accepter le paysage et sa force
trop souvent on a peur des mots
quand les images te captent, à l’air féroce
et remplacent nos rêves atroces
quand les regrets
égarent les secret
on sèche comme sans écorces
tous on pourrit bouffés par les mites
rien ne va quand le cœur et remplacé par le bite, merde
mange du noir par kilo (wo, wo, wo, wo, wo)
réfugiés avec ma philo (wo, wo, wo, wo, wo)
colère rempli le silo (wo, wo, wo, wo, wo)
vieux pervers comme milo (wo, wo, wo, wo, wo)
puissance d’évolution comme madara
musique me scotche comme sparadrap
et l’angoisse s’enfuit, mmh bon débarras (bon débarras)
les sentiments en plein baccara
eh ouais gros, la misère est si belle
ce monde est nul mais ce monde est cruel (ce monde est cruel)
c’est pour ça qu’on se rebelle
pour exprimer, j’envoie quelque décibels
tous frères sur ce monde, d’ayolf à abdel (tous reufs)
mais gros j’suis sur un autre astre
les nébuleuses m’attrapent
pas sur la même terre que vous (vous, vous, vous, vous)
on est sur des nuages nous (nous, nous, nous, nous)
étoile qui gravite autour de moi
le regard et le cœur en émoi
la respiration gueule
accompagné mais seul (tout seul, tout seul)
la sensibilité des paroles qu’on n’calcule pas
l’habileté des rôles qu’on n’adule pas (pas, pas)
j’aime pas trop l’social, il me fait mal
un jour j’vais me barrer seul sur mon île (mon île)
loin du nil
loin de leur mémoire
loin de leur regard
loin des paparazzis
loin de toute cette frénésie
car les nouveautés se démocratisent au fur et à mesure et écartent peu à peu l’homme de sa nature (et ouais, webee)
mais j’repense à son regard couleur ciel
j’voudrais apprendre le partage avec elle
alors j’reste par affection
même si continue l’infection
merde elle me tue
même quand j’marche dans la rue
mes émotions se ruent
pour au final ne penser qu’au cul
je sais pas si j’l’aime ou si j’veux la…
ouais ta compris, ouais ta compris, hey
je sais pas si j’veux un sens
ou dans sa gorge ma s*m*nce
soit c’est chaud
soit c’est cheum
alors dis moi ce que tu veux
et je te le donne
mais par contre faut me dire ton vœu
sinon je n’aurais que le fait que t’es bonne ou conne
désolé aucune visée je ne suis personne
alors dis*moi, avant que je te dise*moi, n’attends pas dis*moi
ça dure et c’est dur, en veux moi après que tu sache ce que j’veux moi
alors dis moi avant que je me noie
viens sous l’eau
putain ça c’est beau
je peux être sensible aux textes de victor hugo, c’est bateau
me met pas de râteau sinon on te jette à l’eau
j’préfère être solo, sous l’eau, puis “halo”
j’dois aller au boulot, à vélo au galop
et je contemple les traînées des avions qui ressemblent à des javelots (ya)
la contemplation écarte le problème
ce que je récite en boucle au bord de cette falaise, le paysage change à cause du malaise, le vrai poème
c’en est assez
je suis resté assis pense dix ans
à te regarder
à essayé de garder
dans ma mémoire
le souvenir de toi
mais je ne vois plus que du noir
et en me quittant je ne ressens plus aucune joie
je m’envole
dans cette mer de nuages
tel eole
je rentre dans un nouvel âge
tu m’as emporté, à cause de ta mer déchaînée de colère
tu m’as déporté, à cause de nos tristes douleurs
tout ce que tu disais était amer
tu m’as ébloui et depuis je ne vois plus aucune couleur
nos cœurs électroniques, tels des cyborgs sont les mêmes que ceux des autres
face à toi, sur une plaque tectonique qui s’éloignent l’une de l’autre
je m’envole
tel éole
et mon âme dans les airs
se sépare de l’homme que j’étais sur terre
je m’en vais bien vite
pour rejoindre ma belle aphrodite
et mon corps s’enfonce dans les plus profondes abysses de la montagne
comme si ulysse était prisonnier au bagne
j’oublie tout ce que tu m’as dis, pour rejoindre mon paradis
[outro]
on était tel deux astres liées, destin liés
mais pourtant on s’est niés
on s’est fait du mal
mais tu n’étais pas féale
on était tel deux astres liées, destin liés
mais pourtant on s’est niés
on s’est fait du mal
mais tu n’étais pas féale
mon cœur s’endort
romantique jusqu’à la mort

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