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lirik lagu car c’est le choix que j’ai fait – worms t

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intro
c’est la merde rhey

couplet
seul but, frapper la prod
j’veux pas montrer la mode
p-ssionner comme un grossiste, qui liquide sa drogue
a c’qui parait, tout les rappeurs, sont h-m-phobes
beaucoup donnent leurs boules, normal et ont déjà bouffer l’ogof
je m’imagine toujours dans le ventre de ma mère
mais j’savais pas qu’ça sentait la carotte en l’air
image dans l’veau-cer, quand j’écoute testament
c’est pas un radment, j’te l’dis mon rap, c’est mon calmant
alors comment vous dire que la mort nous caresse
ferme les yeux, nehess, tout apprendre n’est pas d’la sagesse
l’humain se rabaisse, calmement
vivre sereinement, ironie d’la vie, nos polices ont fait pas qu’des amendes
et ouais gars, on s’est fait niquer la gueule
on a le seum, c’est pour ça qu’on a tous des guns
pour les frères isolés, écroués
par un système judiciaire spécialement conçue pour les basanés
j’rap sale, et ne me parlé pas, je vous connais pas, j’vais pas vous suivre comme des moutons qu’on a formaté, emballé
reste bien contant, tous les frères défoncé, à la jack d, pour oublier les soucis d’baisé
alors comment vous dire, et décrire mes phrases
mes mots sonnent vrais, dans mes putains d’phases
j’ai rappé toute ma vie, boy y’a plus de cash au frais, du coup srab est là, plus part de grammes
équipé d’phares xénons, pour mieux voire dans l’noir
cauchemar, on s’réveille en pleine nuit avec une sale histoire
angoissé, à marcher avec une boule dans l’ventre
plus d’appét-t, car les soucis nous hante
et ouais le crime me tente, car des fdp on soulevé mon studio, on s’retrouve à la rue, sans une tente
alors comment veux-tu, qu’ça aille bien dans ma tête
j’ai perdu 17 000 euros, il m’reste que des miettes
j’vais pas jurer mais t’inquiète pas, qu’il me reste des balles frère pour les allumer
j’ai pas grandit près des ruisseaux, j’ai grandit dans l’ghetto
bercé, par le bruit des motos
a l’époque j’pouvais rester au close pendant des heures, l’époque a changé, les condés, s’amusent, à coups d’tasers
boy je t’-ssure, que les gens parlent souvent derrière leur pc, mais jamais en face bien sur
reprend ton souffle, car la route est longue, mais la mort est proche
faut déjà creuser sa tombe
les re-frè tombent, pour une histoire de bédo, de braquo, c’est la routine, mais des daronnes succombent
9 mois, elle t’as porté, frère on reste [?], chez nous c’est hallam d’avorter
mariage forcé, et ouais ma gueule, la vérité blesse comme une balle de desert eagle
et ouais j’pique salement, retiens mon blase, w.o.r.m.s.t dans mes putains d’phases
rien de grave, appart qu’on est tous dans la merde, on respire mal dans la chambre à gaz
sur la tête des maisons d’disque, mon rap pue la s’conque
arrête de jouer l’thug, t’as jamais vu un pompe
grosse pression d’algérois, tu parles en signe, j’parle en kilo, j’ai fais mon signe
en direct de mon cerveau des punchlines en wifi
en direct du 18 carra comme le frère de rerti
la frappe dans l’taxi, j’vois gris
on est tous des artistes, comme leonard de vinci
voici quelques p-ssages de nos vies, de ma vie
où les histoires sont pas tiré de film de spikly
j’rap albi, et c’est sur qu’un jour, on va nous ch-sser comme kadafi
worms-t

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