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lirik lagu étincelle – ​​xheidix

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ce soir, le ciel c’est teint en noir
une étincelle s’éteint en moi
peut*être qu’elle se rallumera
on verra plus tard
accoudé à la bal*strade
je passe le temps à douter
à bouger dans ma tête des paramètres ajustable
la réussite, ça tient à peu de choses
et puis merde, peu me chaut
je reste lucide, sur la portée de mes choix
il y a des soirs où plus rien ne me déçoit
pas dis que petit ardéchois marque l’histoire
mais on va quand même y croire
loin d’être optimiste
mais pas vraiment pessimiste non plus
je prends les choses comme elles viennent
malgré mes désirs confus

quelques*uns me congratulent, peu m’adulent, mais combien me comprenne hein ?
rapide calcul, résultat nul
voir peut*être à peine un
il y a ce que j’ai fait et ce que j’ai voulus faire
le gap est large
le moral dans les chaussettes, les rêves sont à l’étage
je marque les pages
couché sur mon lit à bouquiner, avant de roupiller
j’arrive à m’oublier
cette gentille fille vient me masser
elle est sur ma vie
comme la chantilly sur le café
et c’est parfait
est*ce que je ferai tout pareil si c’était à refaire ?
ensemble, on fait la paire qu’arriva*t*il si je la perds ?
bonne question, qui se rajoute à mes nombreuses obsessions
j’en ai déjà une belle collection
qui s’accumulent et s’entremêlent dans ma tête de mule
il faut que je respire
un pinceau dessine sur ma peau mes rides un drôle d’air triste
introverti, la foule autour me donne bien trop le vertige
mon pauvre esprit, c’est trop perdu
il a juste besoin d’air pur
pas agoraphobe, j’adore juste la solitude
paysage dépeuplé, offre une plus jolie vue
foutez moi la paix
ça ne vaut pas la peine
gardez vos problèmes
j’en ai déjà à la pelle
corps en janvier, esprit en juillet
pas le temps de m’ennuyer
le moi du futur, un rancunier
pourvu qu’il ne m’en veuille pas
feuille blanche devient feuille noire
mon cœur, un encrier
le deuil partira sans prier
dieu nous protège, mais la papomobil est blindée
ce soir je n’ai pas trop de motive, je m’inquiète
je n’ai pas la foi, mais j’ai l’espoir
besoin de m’élever
au fond, j’ai une belle vie
mais elle est vaine
mes idées me viennent pèle mêle
le bloc*notes va déborder
la perfection est hors de portée
mais je m’y approche
mes rêves sont decoloré
mais je m’y accroche
parfois, en colère, je sers mes molaires mes canines
je suis froid polaire soit solaire, j’ai mes humeurs élastiques
moral sinusoïdal
problèmes thyroïdale
je tente l’impossible
pourtant, je n’ai jamais trop cru aux miracles
mes projets listés sur un post*it
comme un radeau sur une mer hostile
j’aiguise mon style mon stylo
stressé, mais pas du genre à perdre onze kilos
gardez votre bible, je préfère mon dico
je n’écoute pas les on dis que…
comme on n’écoute pas mon disque
ce n’est pas si grave, puisque
j’écris avant tout pour moi
parce que
je trouve les alentours sournois
je donnerais tout en me battant pour le tournoi
même si j’ai comme des doutes, au détour
d’un fracassant coup droit
j’ai des élans mélancoliques
quand je contemple l’univers
je ne vois que du mystère
dans son étrange entropie
le spleen est créatif, j’en profite et j’essaye
d’exprimer mes plaies à vif, sans en grossir les traits
la lune est pleine
la nature est belle. j’accumule les peines
cette nuit
comme une envie de hurler à la mort
pas dis qu’à côté, les voisins soient d’accord
alors ça restera bloqué dans ma gorge
un râle étouffé
je réclame des bouffées d’air
j’ai mal, mais j’ai une dalle à bouffer l’herbe
j’arriverais essoufflé, sur l’everest
les lèvres boursouflées
mais j’irai toucher le ciel
c’est essentiel
surtout si c’est inutile
j’ai le panache existentiel
je ne perds qu’avec du style
vive le futile, l’amour de l’art, et la beauté du geste
il n’y a que ça qui vaille le coup, je passe volontiers à côté du reste

résoudre des problèmes
ça peut en créer d’autres
dites*moi
comment nettoyer le désordre ?
le combat est énorme
le problème est systémique
alors, oui, j’exprime
le besoin de m’éloigner des hommes
désolé…
nos défauts faudrait oser les exposer
je laisse la perfection aux névrosés
j’aime déposer, des baisers sur ses lèvres rosées
j’aime les croquer et lui ôter ses vêtements
et puis rigoler bêtement
car au fond, c’est la meilleure manière de perdre son temps
l’amour a un prix ? peu m’importe, je paye content
j’essaye de comprendre, le monde et ses subtilités
mais ça semble perdu d’avance sans le don d’ubiquité
alors, je reste là
vu qu’il faut bien être quelque part
pour me vider ma tête de lard, je test l’art
et vu que ça marche à peu près
et bien, je créer. parfois, ce n’est pas plus compliqué, il n’y a pas de secret

l’existence à un côté magique
une beauté tragique
j’hésite entre adorer la vie, ou avorter ça vite. je slalom et j’arrive
toujours au même point
il faut savoir partir quand on aime moins
à trop *n*lyser
je déraille
j’aimerais un alzheimer localisé
je reste des heures focalisé
sur des détails insignifiants
mais c’est ainsi
c’est pour cela que je suis si distant
j’emplis des semis remorque de seum et de remords
et quand tu croques la vie
devine qui te remord
œil pour œil, dent pour dent
le temps quitte le port en emportant ce qui pour toi, est important
une fois âgé peut être aurais je envie de voyager
mais dite moi y a quoi à faire
à new york ou à alger
tant de pays où je ne mettrai pas le pied
je vous laisse le monde entier
il ne vaut pas mon atelier
donnez*moi une roue, un stylo, de quoi coudre est bricoler
cette fille pour m’accompagner, et des amis pour rigoler
donnez*moi du temps
et j’aurais là le plus important
le cœur est lourd
il pèse des mégas tonnes
malgré mes états d’âmes et mes hématomes
je sais au plus profond de mes atomes
que je préférerais toujours
cette belle madame à la belladone
noyé dans les marées humaines
besoin d’être seule pour me réparer l’humeur
j’ai passé une heure
en équilibre sur le fil de mes pensées
allez savoir pourquoi
c’est plus facile que de danser
“merci de ne pas déranger”
est gravé sur mes traits
chaque blessure et plais, me démangent
mais je n’arrive pas à les panser
entre questions et équations
je suis sûrement surmené
j’ai l’air frais comme ces poissons surgelés

d’abord les cheveux poivre et sel
puis bientôt les poils d’aisselle
face à l’infini, on se sent tout petit
quelle que soit l’éch*lle
à deux doigts de mes rêves
et bientôt à deux phalanges
je sors de la fange
pour le toit de l’everest
merde
je commence à me répéter
au fond, je n’en ai plus rien à péter
on a qu’à dire que c’est un parti*pris
de toute façon
ils ne comprennent rien à l’artistique
chacun ses lubies
ma plume est volubile
pourtant, je parle peu
si ce n’est pas trop utile
j’y mets les formes, j’y mets le fond
pour eux, c’est trop subtil
quand je performe, j’y vais à fond
à défaut d’une cible, j’irai viser le plafond
c’est ma manière de sortir des bas*fonds
il faut que je calme mes vociférations
je passe mon temps à ocsir des dragons et aussi des ragondins
dans ma tête, il y a du monde, et je ne sais pas combien
je me sens doux*amer ici
la tête dans les étoiles
mais ma roue adhère au sol
je ne suis pas du genre à prendre l’apéro seul
où alors une anodine grenadine avec le parasol
la nuit passe et s’efface
comme la pluie sous l’essuie*glace
assi là, je suis las, j’esquisse mes syllabes
j’écris, je rap
parfois, c’est minable, parfois génial
j’suis maniaque
il faut que ça soit efficace
j’ai la niaque, une motivation à toute épreuve
quelle que soit ton explication
donne*moi toutes les preuves
si j’ai tort par a+b
je me fais fort d’assumer
décemment, je peux te l’assurer
il ne me reste que quelques mesures
pour raconter mes misères mes fêlures
la route est longue et on avance sans le frein
et moi je rap sans refrain
en guise de ponctuation
j’ai mis tous mes points de suture
pourvu que ça plaise au moi du futur
c’est ma manière d’éteindre mes brûlures
c’est comme un onguent
quand la nuit est longue
et que l’ennui m’alanguit
j’ai craché ma bile sur la page
rapé, d’habiles paragraphes
j’aspire à me reposer
la nuit ce mu en son opposé
ce matin le ciel, c’est teint en bleu
et je sens que l’étincelle revient un peu

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