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lirik lagu hassanat+1 – yanni (fra)

dans mon poch’tard j’ai la pe*fra du fenerbahçe
un mec vénère va venir t’charcler
tu vas rester par terre, parfait, bonne nuit (bonne nuit)
buenos dia señorita, elle connais le señor martiños, putas
mon beatmaker c’est mns prod (mns prod !)
combien je gagne de hassanat si j’bute un facho en prime time ?
si contre un n*z* j’casse un tet ? (ouais)
si j’plante un pointeur en pleine taille ?
s’ils veulent la guerre on la fait, on n’est pas du genre à mi*dor
si tu les laisse au pouvoir, dans trois piges dans nos tess y’a des mirador, dor, dor, dor
pour la monnaie mon frère nous on t’attend pas (non, non)
j’ai un pompe, sous les draps si l’extrême*droite veut faire un attentat, ta, ta, ta (brrrrrri)
tout pour la monnaie, pour ça que j’ai vi*ser
j’reviens de la faille et le [?] a mé*fer (wah !)
j’ai fait couleur tout leur sang sous leurs yeux
c’est des schmitts, c’est des lézards, pas des mammifères ! (pah, pah, pah)
j’vise le haut d’la vallée depuis l’talweg (ouais)
m’en bats les couilles tant que les vrais m’aiment (ouais)
lisan al*gaib comme les touaregs, allah akbar comme les fremen (wouh !)
trancheur de têtes comme corvo
dans ma tête y’a que des corbeaux ou des porcs, qu’on veut voir morts
avec la corde au cou, (pah, pah, pah) avec la mort aux trousses
je viens du 9 4 comme moi*même, je viens d’algérie comme san goku (ah ouais !)
[?] qu’j’peux partir sur un [?] [?] c’est que j’peux repartir sur un sample de fou ! (ouais !)
le sh*t
que j’fume
le démon se cache dedans, (oh ouais !)
le spliff
que j’brûle
pour soigner ma rage de dents, (pah, pah, pah, pah)
m’a porté au bord du gouffre personne m’a sorti quand j’étais d’dans (non !), hey !
j’traîne avec une paire de gants, une paire de blancs qui parle pas le noi*chi (ta, ta, ta)
si tu parle trop et que ça pète le plan, nous on vient te péter à porte de choisy (wouh !)
non ramène pas ta [?] b*tch, (non !)
passe*moi le pochetard en vitesse
tu sais très bien que ça parle en snitch
l’ambiance peut finir à la silent hill
et joue pas la paresse fils, non non joue pas la paresse (paresse !)
on vient repeindre le monde couleur couleur [?] le produit est [?] il vient pas du brésil
la pasta sur le marché pour garder la résine
la face cachée de la lune cachée sous ses résilles (oh ouais !)
[pont]
[?] mon lit pour attraper mes rêves et au bord de mes névroses, j’attends plus rien de demain
chaque jour une épreuve tu peux attendre que j’crève
que le dieu tout*puissant vienne m’attraper la main
le temps se rattrape comme une voiture de luxe
ça guérit pas l’enfance
l’argent, l’amitié, ça colle pas
eh nique sa mère…

les premiers qui passent les murs
c’est les premiers qui tombent, c’est certain (bah ouais !)
dans la main gauche un oinj de pure (de pure)
de la main droite on check le malin (check !)
ils effacent nos sourires sans cesse
ils nous passent à tabac
sur la table du studio y’a des [?] sans s (sans s)
et des miettes de tabac (wouh !)
f*ck les suiveurs et nique l’immobilisme
j’rappe pas pour mettre de côté
investir dans l’immobilier
partir m’installer sur une plage en sicile
j’découpe la langue de molière, je la dépose sur des prods et j’en fais des missiles
c’que j’écris c’est du putain d’tos*ma soviétique
mets*moi les prods à la chaîne j’fais des meurtres en série
hey, hey !
treize à la table : y’a au moins un judas (eh !)
je peux lever une armée avec dix adjudants (dix adjudants !)
ça fait longtemps qu’je me tape plus
non c’est qu’dans la sacoche y’a dix ans de judo
f*ck le septième art, j’suis dans le quatrième, le cinquième, j’parle pas d’arrondiss*m*nts (non, non !)
y’a que si ta mâchoire est carrée qu’on tape dedans, qu’on arrondit les angles, hey
on vise la pointe de l’intérieur
le feu par le feu, c’est la paraphrase
avec yahida record, vostok music, (music !)
la furie, le feu, le feu, les trois bases
voilà que louis boyard c’était soc*dem
mon prochain single s’appelle staline ! (pah, pah, pah, pah !)
après si tu veux sortir nick conrad en personne ira faire des bisous aux papous de sa ville
astra*zéterministe là on vient toucher la stratosphère
et si tu me vois avec un gun c’est pour bah, bah, bah ! la fachosphère
j’devrais jeter ma carte de bus (ouais)
je suis sur écoute c’est pas du blair
pas que sur spotify et deezer
par les rg, la vie de ma mère, hey (wouh !)
merci marine pour les travaux
merci f de souche pour les gossips
je suis à gaza en course*poursuite
mon avocat a l’nom d’famille de gisèle, il connaît la parade
même moi j’connais la parade
la france aux français s’tu veux ouais…
mais les françaises aux arabes !
y’a zéro éner, que d’l’amour (d’l’amour !)
fais*toi jurer la vie de ma race ! (ma race !)
j’pèterai l’champ’ à la mort de zemmour
comme mon grand*père à celle de maurras (mon grand*père à celle de maurraaas !)
moi j’ai besoin d’un permis d’arme pour me servir de mes cordes vocales
trop haut degré d’implication
pour me péta dans des guerres locales
je prends deux*trois dents dans ta grande bocca
je prends mon contact à belle locale (bah ouais !)
si elle me rappelle tant mieux
mahlich si elle m’rappelle pas
ma habiba qu’est*ce que t’es belle (mashallah…)
en manif quand tu lèves le bras !
quand tu cries mort aux porcs, mort aux terf, mort aux fachos ! (mort aux fachos !)
t’es jamais plus belle qu’sous les flashb*lls

- yanni fra

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