lirik lagu bon vent – ysha
[paroles de “bon vent”]
[couplet 1]
par une nuit d’été, sous une brise légère
s’approche une beauté irréelle, inégalée depuis des millénaires (facile)
mais qui est*elle ? (qui)
est*elle libre ?
à qui adresse*t*elle ce sourire discret qu’elle esquisse (à moi ?)
plus elle s’avance, plus le temps s’écoule doucement
la lune la rend particulièremеnt époustouflante
ma raison flanche, c’est fou
pourtant еlle m’est inconnue mais c’est bien au*dessus des coups d’cœurs que j’éprouve souvent
timidement, j’occulte sa posture
sa silhouette élégamment éclairée par l’astre nocturne
je n’en crois pas mes yeux (quoi ?), elle a la grâce des dieux
et vu sa légèreté, elle doit provenir tout droit des cieux
une étoile décrochée de la voûte célestine
envouté, faut*il que je retrouve mes esprits ?
dois*je éternellement rester muet et sans réponse ?
ou dois*je oser lui proposer comme dans mes songes
[couplet 2]
prends ma main bébé et danse avec moi
ayant cet instant éternellement gravé dans la mémoire
qu’il dure à l’infini
l’idée de sembler insipide m’intimide
en un instant, ta classe m’a fascinée
mon cœur se trouve soudain captivé, captivé
suis mes pas, laisse*moi t’guider
n’hésite pas (nan), ne te fais pas prier
[couplet 3]
alors que j’appréciais un zéphir délicat
la nuit estivale m’a confrontée à un bougre à l’allure méprisable
j’ai envie d’rire en apercevant sa sale gueule
il va m’coller, les gars comme lui j’les connais par cœur
en approchant, le temps subit un ralentiss*m*nt
l’ambiance nocturne le rend particulièrement flippant
c’est saoulant, la façon dont il m’a fixée étouffante (c’est étouffant)
encore une bite sur pattes qui m’a prise pour un bout d’viande
un choix s’impose : qu’en faire ?
l’ignorer, regarder en l’air ou l’affronter et lui dire d’aller en enfer
rester digne et élégante, même si l’malaise est grand
avec mon spray lacrymogène, j’crois qu’j’pourrais m’défendre
nos regards se croisent, je crains c’qu’il en déduis
j’suis d’moins en moins séduite à mesure que la distance se réduit
et dire que j’lui aurait parlé si c’était un grand blond
mais lui, j’le déteste, quelques soient ses intentions
[couplet 4]
son regard lubrique reflète vilité
j’en ressens le poids toxique de la masculinité
je devine ses dessins funestes
si tu croyais pouvoir mater mes seins, tu rêves
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