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lirik lagu la vie ou la mort (remix) – zani rams

[chorus : arma jackson]
je pourrais leur vendre du rêve, tu crois que je vais vendre mon cul? (t’es fou)
‘peuvent même pas marcher sur nous, tu crois qu’ils ont marché sur la lune? (ah bon…)
subir ou se battre? la vie ou la muerte?
subir ou se battre? la vie ou la muerte?
y a tellement de possibilités en vrai!
y a tellement de possibilités en vrai!
subir ou se battre? la vie ou la muerte?
subir ou se battre? la vie ou la muerte?

[verse 1 : zani ram$]
uh…
difficile de débuter la journée sans mon putain de bol de kellogg’s
dark vador m’entend kicker sur l’instru, il se demande : “putain, mais c’est quelle force?”
d’obscures structures voient le jour : on les gère comme chez bang bros
des ordures qui susurrent dans la “ure” : je mets 2-3 coups de balai-brosse
la vie : une course qui se p-sse en pleine brousse. t’as pas de pleines bourses, couz’? mais quelle bouse!
mais quelle bouse, en douce, on se “ken” tous mais, quand l’un de nous tombe, on saigne tous…
on signe tous, sheitan enseigne tous. dans le mal, on se baigne : blancs, noirs #juventus
arma jacks, hefty blacks, on enchaîne, couz’. “efficaces, leurs p-sse-p-sse!”, ils disent et viennent tous…
ils viennent tous, appellent amis et famille, choisis entre la muerte, la bourse ou la vie à bali
choisis entre -ssurer ou souffrir si t’es un daddy, choisis d’endurer au max’ en “son-pri” ou dans un lit d’hôpi’
choisis d’être toi ou tu finis cloné comme dolly, crade instrumental, on rafale, ah, tu dis que c’est joli?
c’est gentil… on fait ce qu’on peut pour que le week-end commence le vendredi pour se terminer le jeudi, negguz, non?

[bridge : zani ram$]
on ne choisit pas ses combattants mais on peut choisir de se battre
ou pas, je sais que c’est dur, courage
la douleur, une image : tu peux choisir de l’effacer ou bien de la redessiner
la réussite : en vrai, c’est toi qui choisis la taille du fossé qui t’y sépare…!

[verse 2 : arma jackson]
j’ai des phrases en tête, des trucs violents, normal pour faire des cl-ssiques
logique que j’aie du sang sur les mains, en vrai, car c’est moi qui tappe le beat
des rappeurs qui parlent tout le temps de moi, même ta bouche ne peut salir mon blaze
je veux pas perdre mon time, rien à y gagner. si, eux, ils sont real, je veux bien être fake, ciao!
une mère qui te pousse pas, je te jure, c’est plus décourageant qu’un million d’ennemis
longtemps qu’on mérite d’être sur le tapis rouge et, même si y a pas photo, je vois les années qui défilent
des casiers vierges, or, tu f-ck les flics
enlève ton masque, t’invente pas de vie, ton plus grand fan, c’est un cinéphile à moitié sourd!
j’veux, qu’un jour, mes enfants puissent être fiers de moi
papa, j’aurai tout donné pour qu’mes gosses héritent au moins d’un tiers de toi
l’amour : le plus beau des héritages, j’ai toujours puisé ma “ce-for” en lui
pour réveiller ce qui sommeille en moi, la réussite au pied de mon lit…

[bridge : arma jackson]
on ne choisit pas ses combattants mais on peut choisir de se battre
ou pas, je sais que c’est dur, courage
la douleur, une image : tu peux choisir de l’effacer ou bien de la redessiner
la réussite : en vrai, c’est toi qui choisis la taille du fossé qui t’y sépare…!

- zani rams

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