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lirik lagu bonsoir – zed (new zealand)

[couplet 1]

faut qu’j’arrête de m’reprocher des trucs
de m’rapprocher des turcs
et d’embrocher des putes, han
c’était stupide de claquer dix balles pour des indus
sur la fleur de l’age pour plus tard être un cactus, madame
j’avoue j’ai regardé vos grosses fesses sur le prospectus
prions qu’on m’éduque bien, pour du taf bien
et d’la cess pure, j’mène mes seize rudes à la baguette
sauf que pour mes vieux leur fiston s’touchera la verge
rêvant d’biff et de rodéo, d’bénéfice, que d’autres mifls l’applaudissent
mon garçon faut pas voler haut, fais des beaux des bons
ceux qui fondent pour des fausses septiques
pour des sacs et de coquettes filles
j’étais grave, j’étais poli oui un genre d’bel-ami sous suze
d’vant de gros débris qui sucent, oui
j’fais d’la politique, mystique est ma poésie fictive
remballez vos litrons d’sh-t, j’suis l’plus prolifique ici

[refrain]

merde, j’ai dis merde, j’ai dis bonsoir!
j’m’en branle d’vos états, d’vos folies, de vos histoires
a faire des têtes bizarres, j’ai dis des tas d’visages
encore des journées à mentir pour des pistaches

merde, j’ai dis merde, j’ai dis bonsoir
encore des soirées à sourire devant l’miroir
a faire des têtes bizarres, j’ai dis des tas d’visages
encore des journées à mentir pour des pistaches

[couplet 2]

encore une fois, j’sais pas d’quoi parler
merde, j’ai qu’à faire pareil
des vers sur des tas d’barrettes
ou démonter des femmes par terre
tant que des sentiments m’habitent j’m’égare dans des élans d’folie
“si t’es différent, magique! alors d’accord j’me déshabille”
disent les filles qu’ont des tas d’amis pour qui la vie c’est grave facile
tant qu’les grammes s’agitent, et qu’les bars s’animent tard
même le prince charmant s’fait sucer la bite m’dame
on a jamais trop mal pour compter les victoires
moi j’fais des c-sse-têtes dans l’noir, si, j’tartine ces quinze sticks. facile
et comme les vil-ci j’m’éparpille en partie si magique
qu’les papis s’imaginent bédave et r’trouver les belles années, amen
vive les donkey punchs, tous ces cons m’écœurent
j’libère ton cercueil, oui, que les concerts pleuvent si
pour mon innocence j’ai des bontés d’sœurs tristes et des montées d’surprise
nique les sueurs froide, allons violons mr freeze

[refrain]

[couplet 3]

j’ai vu des marionnettes ne pas savoir quoi faire de ciseaux
des putes d’vant l’éthylotest qui stressent pour leur mal de dos
du sh-t dans du plastique oh!
le fisc d’vant ton mari
confisquer ton baril
ton fils et tes animaux
tes crispements s’agitent
les vil-ci n’l’ont pas dit :
tu triches mais c’est notable dans la ville de paris
paradoxe en soi, c’est vrai qu’j’ai pas la force en moi
d’écouter tes problèmes de chatte et tes tas d’avances en bois
alors viens qu’on avance, qu’on boit, que j’cache mes convois dans c’combat
et si ta soeur n’fait pas la timp, c’est elle qui tombera dans l’ton-bâ

[refrain]

- zed new zealand

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