a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu pour une première – zetré 13

couplet 1 :
bébé viens je t’emmène faire une pet-te balade
prends la place du mort à bord de l’impala
on part pour le délire, direction medellin
évasion, au sommet, t’es -ssommé au lean
de boston à sydney certains ont mis les voiles
j’ai des soss a paname et on p-ssera les voir
maintenant c’est plus des billes mais des billets à compter
lance des biz, lance des biz, lance des biz a coté
écrire pour parler sans être interrompu
éclater mon bisk et réclamer mon dû
si le cercle est vertueux on va se tourner vers dieu
entre renaud et renard ces tarés l’on cru
3rz c’est textile et textes stylés
3rz vous faire kiffer c’est notre destiné
respectes le professeur, dms met les notes
ils surfent sur les vagues pendant qu’on fait les nôtres

refrain :
un bisk, une prod et la magie opère
j’ai mis mes distances comme une jeune fille au paire
tu me méprise toi, c’est faux soir honnête
je repense à tout ce temps, un feu-spli au bec

couplet 2 :
je pensais t’avoir cerné mais vas y fais moi signe
je p-sserai te voir seulement si t’insistes
j’ai plus que toi dans le viseur t’es ma target
la nature reprend ses droits comme a highgate
la nature a aussi fait que je sois plutôt calme
les yeux béants lors d’une balade a la bute aux cailles
admires la beauté qu’offre le paysage
ça fait longtemps que je me suis perdu dans celle de ton visage
surveilles ta dame, maintenant c’est sans état d’âme
je pourrais claquer ma paye en une soirée à ‘dam
mais c’est moderne que de me voir modéré la verte
plf dans l’épiderme je ne peux pas retourner ma veste
que de p-ssage dans le commun des mortels
je vais y laisser ma trace comme un de tes modèles
on c’est fait du tord, quelque chose qu’on ne redresse pas
surchargé comme le coffre quant on revient d’espagne

pont :
j’ai perdu c’est normal, ça fait parti du jeu c’est comme ça

refrain :

couplet 3 :
quand je commente l’histoire je commence par la fin
on se faisait du mal sans en venir aux mains
j’ai pris la liberté de faire ce que je pense
a trop dire « je t’aime » il a perdu de son sens
elle m’a vu partir comme un simple « bonsoir »
j’ai fini par me dire que c’était le bon choix
et pourtant on s’efforce à plaire
des souvenirs d’entant que le temps efface à peine
une dernière étreinte comme un dernier espoir
la flamme c’est éteint et a laissée place au noir
j’ai fini par la la zapper comme une vulgaire chaine
je crois que j’avais besoin d’air pas besoin d’elle
ai-je bien fais ? je trouve des raisons d’en douter
des lésions c’est ce que cette liaison m’a couté
vie ma vie, plus besoin de me justifier
bébé je suis la dernière étoile que t’ai vu filler

refrain :

couplet 4 :
j’aime quand elle se dénude c’est dénué de sens
entre des nuages de fumée et les nuées de cendres
souvenirs ress-ssés, seuls les bons sont am-ssés
on se demande pourquoi on pense autant aux temps p-ssés
et peut être qu’on se recroisera un de ces quatre
quand tu reviens je te mets des vents comme dans le morceau 4
cette fois ci c’est si fascinant
les choses qui ne se disent pas s’écrive si facilement
t’as pas le sens des mots et je sent que tu ment
tandis que je me persuade que j’ai plus de sentiments
c’est moi qui suis parti, c’est toi qui doit faire avec
la solitude est juste un prétexte pour faire la fête
on c’est aimé intensément pour être honnête un temps seulement
blessures à moitiés couvertes le texte c’est le pans-m-nt
fin du rod trip, on est p-ssé par tous les états
mais maintenant c’est mort doums et népal

- zetre 13

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